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Exemple de circuit court en productions animales

Ludovic LACOMBE, éleveur (24)

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Exemple de circuit court en productions céréalières

Martin SUPLISSON, SAS Suplisson (45) et Benoît FOLTIER, agriculteur (18)

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Le progrès génétique en viticulture

Philippe et Jérémy DUCOURT, Vignobles DUCOURT (33)

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Le progrès génétique en productions céréalières

Christophe POURNIN, SA André Villemont (36)

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Les couverts végétaux entre les rangs de vignes

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Les négociants planchent sur les CEPP


Le dispositif des Certificats d’Économie de Produits Phytopharmaceutiques (CEPP) est un dispositif mis en place depuis 2017. Il s’agit d’une transposition du dispositif des Certificats d’Économie d’Énergie (CEE) au domaine des produits phytopharmaceutiques couramment appelés pesticides.

Les distributeurs de produits phytopharmaceutiques se sont vus attribués un nombre de CEPP à acquérir qui est fonction de leur historique de vente. En bref, plus les ventes de produits phytopharmaceutiques d’un distributeur sont importantes et plus ce distributeur doit acquérir de CEPP.

Pour acquérir des CEPP, les distributeurs doivent inciter les agriculteurs à réaliser certaines actions officiellement reconnues comme permettant une réduction d’utilisation ou d’impact des produits phytopharmaceutiques.

Le hic, c’est que pour certaines filières (paradoxalement les moins consommatrices de pesticides), les actions donnant droit à des CEPP sont très réduites ou correspondent à des pratiques difficilement diffusables auprès des agriculteurs. Ces derniers n’ont aucune obligation liée aux CEPP et donc aucune obligation de mise en place d’actions donnant droit à des CEPP.

Face au faible nombre d’actions CEPP, les négociants se sont mobilisés depuis 2018 pour déposer de nouvelles propositions d’actions qui pourraient donner droit à des CEPP. Cette mobilisation a abouti au dépôt de 10 propositions d’actions parmi lesquelles certaines ont été officiellement reconnues (miscanthus, jachères mellifères, services propres à certains négociants). Elle a surtout permis de mettre en évidence la lourdeur et la lenteur du dispositif de reconnaissance de nouvelles actions CEPP. Les moyens mis en place pour la réalisation de ce travail au niveau de l’INRAE et de l’État sont largement insuffisants. La méthodologie de reconnaissance de nouvelles actions est inappropriée et trop lourde. Ceci conduit certaines actions au bénéfice environnemental incontestable (vente de semences de prairies, certification en agriculture biologique) à ne pas bénéficier de CEPP pour des raisons méthodologiques plus qu’environnementales.


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Le miscanthus pour plus d’autonomie en élevage


Le 23 mars dernier avait lieu une conférence de presse Vert l’avenir au sein des Ets Agricentre Dumas, basés à Espartignac en Corrèze, sur le thème de l’utilisation du miscanthus en élevage.

Face à une problématique de disponibilité en paille, des éléveurs de bovins allaitants ont sollicité les Ets Agricentre Dumas, négoce agricole intervenant sur le Limousin et le Cantal, pour trouver une solution. L’objectif était de permettre aux éleveurs d’être plus autonomes et de réduire leurs charges. L’ingénieur agroenvironnement de l’entreprise a proposé aux éleveurs d’implanter du miscanthus. Cette plante est une graminée pluriannuelle (15-20 ans) à forte productivité. 1 hectare de miscanthus produit 10 à 20 tonnes de matière sèche.

5 éleveurs se sont lancés avec l’entreprise en 2019 pour implanter 15 ha de miscanthus. Il faut attendre 2 ans avant de réaliser les premières récoltes qui auront donc lieu fin mars-début avril 2021.

Le miscanthus sera utilisé pour pailler les bovins en remplacement ou complément de la paille. Il a un pouvoir absorbant 2 fois supérieur à la paille ce qui fait qu’il est déjà utilisé dans certains types d’élevage (palmipèdes). Mais le miscanthus a également d’autres débouchés : chauffage biomasse, paillage horticole…

Une raison supplémentaire d’implanter du miscanthus : c’est une culture non-invasive demandant peu d’intrants (pesticides, engrais).


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Négoce Agricole : le réseau national s’engage @vert_ lavenir


Le programme Vert l’Avenir mis en œuvre par le Négoce Agricole Centre-Atlantique depuis 2017, visant à promouvoir les bonnes pratiques agricoles est désormais reconnu.

Les dirigeants de Négoce Expansion (réseau national) ont souhaité s’associer à cette démarche dont l’objectif est la promotion des solutions de transition agroécologique développées par les entreprises de Négoce Agricole et les agriculteurs.

François Claude Cholat, négociant en région Auvergne Rhône Alpes – président de Négoce Expansion et Gérard Piveteau, co-président de NACA, se réjouissent de ce partenariat qui montre bien l’intérêt commun à tous les négociants de faire découvrir au grand public les valeurs du Négoce Agricole.

Une convention a été signée vendredi 12 février 2021 à l’issue du conseil d’administration du NACA, qui s’est tenu au Novotel Poitiers-Futuroscope.


François Claude CHOLAT et Gérard PIVETEAU
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Parlons peu, parlons bio


Le 24/11/2020, une formation sur l’agriculture biologique en grandes cultures était organisée à destination des conseillers de Négoce Agricole à proximité de Niort (79).

Malgré le contexte sanitaire, 9 conseillers provenant majoritairement des Charentes ont pu être formés sur les techniques de l’agriculture biologique. Cette formation réalisée avec le soutien financier de l’Agence de l’eau Adour-Garonne était organisée par le Négoce Agricole Centre Atlantique (syndicat des négociants agricoles en région Nouvelle-Aquitaine et Centre-Val de Loire). Elle a fait intervenir un formateur de la fédération régionale d’agriculture biologique, Bio Nouvelle-Aquitaine. Depuis environ 4 ans, l’implication des négociants agricoles dans le développement des filières en agriculture biologique a fortement augmenté. Les entreprises se sont faites certifier en bio et ont mis en place des silos bios dédiés au stockage des céréales en agriculture biologique. Cette formation venait compléter et renforcer cette implication.

Axée sur les principes techniques et agronomiques des grandes cultures en agriculture biologique, la formation a permis d’éclaircir de nombreux aspects de la production en bio tout en permettant de nombreux échanges entre participants.


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Abeilles et vignes font bon ménage


Le groupe Landreau accompagne depuis 2018 l’association APIVITI qui regroupe des apiculteurs, des viticulteurs et des particuliers sur les communes de Mosnac et Saint Simeux en Charente. L’objectif de l’association est la mise en place de couverts mellifères (attractifs pour les pollinisateurs) sur des parcelles de jachère dans le vignoble de Cognac.

L’idée est venue d’un apiculteur qui constatait que les abeilles manquaient de nourriture durant certaines périodes de l’année alors que des parcelles de viticulteurs restaient inexploitées (jachères) entre l’arrachage d’une vigne et la plantation de la vigne suivante. La plantation d’un couvert de 14 espèces mellifères sur ces parcelles en jachère permet de fournir du nectar et du pollen aux pollinisateurs dont les abeilles. Le choix des espèces semées s’est fait en fonction de leur période de floraison afin d’avoir des floraisons échelonnées sur l’année. Les espèces semées sont également choisies pour préparer le sol à la plantation de la future vigne en l’enrichissant en azote.

40 hectares de couverts mellifères ont ainsi pu être implantés en 2 ans soit l’équivalent de 57 terrains de football. Les Ets Landreau assurent un accompagnement technique auprès de l’association en fournissant les semences de couvert et en apportant un conseil technique pour leur implantation.

Le travail de l’association APIVITI a permis, outre le dialogue entre apiculteurs, viticulteurs et riverains, de montrer la compatibilité de voisinage entre des parcelles de vigne et des couverts mellifères.


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