• Actualités
  • Mieux comprendre
  • Témoignages
  • Cultures
    • Blé
    • Maïs
    • Colza
    • Tournesol
    • Vigne
  • Aller plus loin
    • Accompagnement
    • Revue de presse
  • Contact
Twitter YouTube
VERTLAVENIR_300DPI-BLANC-VERT VERTLAVENIR_300DPI-BLANC-VERT
Twitter YouTube
  • Actualités
  • Mieux comprendre
  • Témoignages
  • Cultures
    • Blé
    • Maïs
    • Colza
    • Tournesol
    • Vigne
  • Aller plus loin
    • Accompagnement
    • Revue de presse
  • Contact

<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

La certification Haute Valeur Environnementale (HVE) commence son développement en polyculture-élevage.


Au mois de juin 2021, 7 exploitations agricoles de polyculture-élevage des Deux-Sèvres ont obtenu leur certification Haute Valeur Environnementale (HVE) grâce à l’accompagnement de leur négociant agricole Vendée Sèvres Négoce – VSN.

HVE est le troisième et plus haut niveau de la certification environnementale, attestant que les exploitations agricoles sont engagées dans une démarche respectueuse de l’environnement. La certification HVE évalue la prise en compte de 4 thématiques sur l’exploitation : la biodiversité, la stratégie phytosanitaire, la gestion de la fertilisation et la gestion de l’irrigation.

Au sein de VSN, entreprise de négoce agricole des Deux-Sèvres, ce sont deux techniciens agro-environnementaux qui sont chargés d’accompagner les exploitations agricoles vers la certification HVE. La première étape consiste à faire un diagnostic, l’exploitation devant atteindre un niveau minimum d’exigence pour chaque thématique. Ensuite, soit l’exploitation est conforme et peut prétendre à la certification, soit un plan d’actions est élaboré pour lever les non-conformités. Un accompagnement individualisé plutôt qu’une formation collective, c’est le choix qu’a fait VSN pour préparer les exploitations à la certification HVE. Ainsi, 7 exploitations agricoles ont obtenu avec succès leur certification en juin 2021 et une vingtaine d’exploitations supplémentaires devraient leur emboîter le pas en 2022. Cette dynamique collective vers la certification HVE est déployée par VSN avec des exploitations de polyculture-élevage. Le négociant entend en faire un atout pour valoriser et différencier des productions durables, que ce soit en culture comme en élevage.


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Une filière blé 0 phyto de la levée à la moisson


L’entreprise de Négoce Agricole des Deux-Sèvres Vendée Sèvres Négoce (VSN) a lancé en 2019 une filière blé sous cahier des charges pour répondre au besoin d’un industriel de la boulangerie/pâtisserie. Parmi les nombreux critères du cahier des charges, on trouve l’interdiction d’appliquer des pesticides sur la culture une fois celle-ci sortie de terre.

La demande sociétale forte pour des produits apportant des garanties environnementales et sanitaires a poussé un industriel de la boulangerie/pâtisserie à aller plus loin que la réglementation en demandant l’absence de résidus détectables de pesticides dans la farine. Les seuils de détection de ces produits étant aujourd’hui très bas, le meilleur moyen d’atteindre ce résultat est de limiter l’application de pesticides sur le blé. Un cahier des charges a donc été créé en ce sens et c’est l’entreprise de négoce agricole VSN qui a recherché et accompagné des agriculteurs pour mettre en place cette production. Parmi les critères du cahier des charges, on trouve notamment, l’interdiction d’utilisation de pesticides sur la culture à partir du moment où elle est sortie de terre, l’interdiction d’utilisation d’insecticide lors du stockage des grains de blé en silo et l’implantation de couvert mellifère (attractif pour les pollinisateurs) sur une part de l’exploitation agricole.

La production est évidemment tracée du semis de blé jusqu’au produit fini. Un organisme certificateur indépendant audite cette filière pour garantir le respect du cahier des charges. Ce blé, plus compliqué à produire, est mieux rémunéré à l’agriculteur.

L’entreprise VSN s’est lancée dans cette filière appelée La Belle Terre en 2019 sur moins de 100 ha de blé. En 2021, 450 ha ont été implantés. L’entreprise est chargée de choisir et d’accompagner techniquement les agriculteurs. Elle est également responsable du stockage du blé dans un silo sans utilisation d’insecticide.


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

L’agriculture comme réponse au changement climatique


L’agriculture, en émettant des gaz à effet de serre, contribue au phénomène de changement climatique. Elle peut également atténuer les effets de ce même changement climatique en stockant du carbone dans les sols.

Si l’on parle souvent du phénomène d’émissions de gaz à effet de serre, on parle moins du phénomène inverse qui consiste à stocker du carbone pour éviter qu’il rejoigne l’atmosphère. Parmi les secteurs qui peuvent stocker du carbone, l’agriculture a une place importante.

Il est effectivement possible de stocker du carbone dans les sols agricoles. Le phénomène se produit naturellement à condition de fournir au sol une quantité de matières organiques (végétales et/ou animales) importante. Si ces apports de matières organiques sont plus importants que ce qui a été pratiqué ces dernières décennies alors le sol va naturellement stocker du carbone.

Suite à l’accord de Paris sur le Climat en 2015, la France a mis en route sa Stratégie Nationale Bas-Carbone qui est une feuille de route pour atteindre la neutralité Carbone en 2050. Elle concerne tous les secteurs d’activités et traite principalement de la réduction d’émission de gaz à effet de serre mais aussi du stockage de carbone.

Il est possible pour les exploitations agricoles qui stockent du carbone de faire reconnaître leurs pratiques vertueuses à l’aide d’un label mis en place par l’État : le label Bas-Carbone. Ces exploitations peuvent ainsi vendre les quantités de carbone stockées à des structures qui cherchent à compenser leurs émissions de gaz à effet de serre.

Une réunion d’échanges sur ce sujet a regroupé 40 négociants agricoles de Nouvelle-Aquitaine et Centre-Val de Loire le 05 mai 2021 en visioconférence à l’initiative du Négoce Agricole Centre-Atlantique.


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Témoignages

Exemple de circuit court en productions animales

Ludovic LACOMBE, éleveur (24)

<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Témoignages

Exemple de circuit court en productions céréalières

Martin SUPLISSON, SAS Suplisson (45) et Benoît FOLTIER, agriculteur (18)

<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Témoignages

Le progrès génétique en viticulture

Philippe et Jérémy DUCOURT, Vignobles DUCOURT (33)

<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Témoignages

Le progrès génétique en productions céréalières

Christophe POURNIN, SA André Villemont (36)

<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Mieux comprendre

Les couverts végétaux entre les rangs de vignes

<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Les négociants planchent sur les CEPP


Le dispositif des Certificats d’Économie de Produits Phytopharmaceutiques (CEPP) est un dispositif mis en place depuis 2017. Il s’agit d’une transposition du dispositif des Certificats d’Économie d’Énergie (CEE) au domaine des produits phytopharmaceutiques couramment appelés pesticides.

Les distributeurs de produits phytopharmaceutiques se sont vus attribués un nombre de CEPP à acquérir qui est fonction de leur historique de vente. En bref, plus les ventes de produits phytopharmaceutiques d’un distributeur sont importantes et plus ce distributeur doit acquérir de CEPP.

Pour acquérir des CEPP, les distributeurs doivent inciter les agriculteurs à réaliser certaines actions officiellement reconnues comme permettant une réduction d’utilisation ou d’impact des produits phytopharmaceutiques.

Le hic, c’est que pour certaines filières (paradoxalement les moins consommatrices de pesticides), les actions donnant droit à des CEPP sont très réduites ou correspondent à des pratiques difficilement diffusables auprès des agriculteurs. Ces derniers n’ont aucune obligation liée aux CEPP et donc aucune obligation de mise en place d’actions donnant droit à des CEPP.

Face au faible nombre d’actions CEPP, les négociants se sont mobilisés depuis 2018 pour déposer de nouvelles propositions d’actions qui pourraient donner droit à des CEPP. Cette mobilisation a abouti au dépôt de 10 propositions d’actions parmi lesquelles certaines ont été officiellement reconnues (miscanthus, jachères mellifères, services propres à certains négociants). Elle a surtout permis de mettre en évidence la lourdeur et la lenteur du dispositif de reconnaissance de nouvelles actions CEPP. Les moyens mis en place pour la réalisation de ce travail au niveau de l’INRAE et de l’État sont largement insuffisants. La méthodologie de reconnaissance de nouvelles actions est inappropriée et trop lourde. Ceci conduit certaines actions au bénéfice environnemental incontestable (vente de semences de prairies, certification en agriculture biologique) à ne pas bénéficier de CEPP pour des raisons méthodologiques plus qu’environnementales.


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Le miscanthus pour plus d’autonomie en élevage


Le 23 mars dernier avait lieu une conférence de presse Vert l’avenir au sein des Ets Agricentre Dumas, basés à Espartignac en Corrèze, sur le thème de l’utilisation du miscanthus en élevage.

Face à une problématique de disponibilité en paille, des éléveurs de bovins allaitants ont sollicité les Ets Agricentre Dumas, négoce agricole intervenant sur le Limousin et le Cantal, pour trouver une solution. L’objectif était de permettre aux éleveurs d’être plus autonomes et de réduire leurs charges. L’ingénieur agroenvironnement de l’entreprise a proposé aux éleveurs d’implanter du miscanthus. Cette plante est une graminée pluriannuelle (15-20 ans) à forte productivité. 1 hectare de miscanthus produit 10 à 20 tonnes de matière sèche.

5 éleveurs se sont lancés avec l’entreprise en 2019 pour implanter 15 ha de miscanthus. Il faut attendre 2 ans avant de réaliser les premières récoltes qui auront donc lieu fin mars-début avril 2021.

Le miscanthus sera utilisé pour pailler les bovins en remplacement ou complément de la paille. Il a un pouvoir absorbant 2 fois supérieur à la paille ce qui fait qu’il est déjà utilisé dans certains types d’élevage (palmipèdes). Mais le miscanthus a également d’autres débouchés : chauffage biomasse, paillage horticole…

Une raison supplémentaire d’implanter du miscanthus : c’est une culture non-invasive demandant peu d’intrants (pesticides, engrais).


<span class="meta-nav"></span> Prev 1 2 3 4 5 6 … 9 Next <span class="meta-nav"></span>

Articles récents

  • Le Négoce Agricole, partenaire des programmes Re-Sources en Nouvelle-Aquitaine
  • Tous mobilisés pour limiter l’impact des limaces sur les cultures et la ressource en eau
  • Une communication commune sur la fertilisation et la fertilité des sols
  • Hydromulching : une solution innovante pour végétaliser durablement les espaces publics et privés
  • Chiche !

Commentaires récents

    Archives

    • octobre 2025
    • septembre 2025
    • juin 2025
    • avril 2025
    • novembre 2024
    • octobre 2024
    • juin 2024
    • mars 2024
    • février 2024
    • septembre 2023
    • juin 2023
    • mai 2023
    • avril 2023
    • février 2023
    • janvier 2023
    • décembre 2022
    • septembre 2022
    • juillet 2022
    • juin 2022
    • mars 2022
    • janvier 2022
    • décembre 2021
    • novembre 2021
    • octobre 2021
    • septembre 2021
    • août 2021
    • juin 2021
    • mai 2021
    • avril 2021
    • mars 2021
    • février 2021
    • novembre 2020
    • octobre 2020
    • juillet 2020
    • juin 2020
    • avril 2020
    • mars 2020
    • février 2020
    • janvier 2020
    • novembre 2019
    • septembre 2019
    • juillet 2019
    • mai 2019
    • avril 2019
    • février 2019
    • janvier 2019
    • novembre 2018
    • octobre 2018
    • septembre 2018
    • juillet 2018
    • juin 2018
    • avril 2018
    • mars 2018
    • février 2018
    • janvier 2018
    • décembre 2017
    • novembre 2017
    • octobre 2017
    • septembre 2017

    Catégories

    • Actualités
    • Mieux comprendre
    • Témoignages

    Méta

    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR

    logo

    © 2017 Vert l'Avenir
    Tous droits réservés

    • Actualités
    • Mieux comprendre
    • Témoignages
    • Cultures
    • Accompagnement
    • Revue de presse
    • Contact
    • Mentions légales

    Nous suivre

    Twitter YouTube

    Nous contacter

    contact@vert-lavenir.com

    Vert l'Avenir,
    Les Ruralies
    CS 80004
    79231 PRAHECQ Cedex