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Miscanthus en Limousin

Les Ets Agricentre Dumas, entreprise de Négoce Agricole, accompagnent les éleveurs du Limousin dans leur projet de plantation de miscanthus.

Le miscanthus est une graminée (herbe) de grande taille puisqu’elle peut atteindre 4 m dans les meilleures conditions.  La production de miscanthus par les agriculteurs est récente et encore peu développée. Le miscanthus est principalement utilisé comme combustibles renouvelables, paillage horticole ou litière pour les animaux d’élevage. La culture de miscanthus a l’intérêt de présenter de faibles besoins en intrants (pesticides, engrais). Elle permet de protéger le sol contre l’érosion et est favorable pour la qualité de l’eau. La culture restera en place pour une durée de 20 à 25 ans avec une récolte annuelle (la récolte ne détruit pas la culture).

En Limousin, certains éleveurs manquent de paille pour la litière de leurs vaches Limousines. Ils ne produisent pas assez de céréales à paille pour satisfaire ces besoins et recherchent des alternatives, c’est-à-dire des cultures qui pourraient fournir une litière pour les vaches et qui aurait un niveau de production élevé pour produire beaucoup sur de faibles surfaces. Le miscanthus remplit ce rôle et nécessite en plus peu d’intrants. Les Ets Agricentre Dumas, Négoce Agricole du Limousin, ont été sollicités par des agriculteurs intéressés pour implanter du miscanthus sans savoir vers qui se tourner. L’entreprise a donc coordonné le projet de plantation de 14 ha de miscanthus au printemps 2019 par 5 agriculteurs. Les plants et la planteuse ont été fournis par la société Novabiom. La première récolte aura lieu au cours de la 2ième année de mise en place de la culture. C’est à ce moment que l’on verra si la culture tient ses promesses et répond aux besoins des éleveurs. Toutefois, de nouvelles plantations sont d’ores et déjà prévues pour l’année prochaine.

Planteuse de miscanthus

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De l’alimentation pour les animaux d’élevage 100% française

L’entreprise de Négoce Agricole Pasquier VGT’al basée à Secondigny dans les Deux-Sèvres a investi en 2016 dans un toasteur. Objectif : produire de l’alimentation pour les animaux d’élevage 100% française et garantie sans OGM.

Les protéines sont très importantes dans l’alimentation des animaux d’élevage. Elles vont être apportées par du soja, du colza, du lupin ou de la féverole. Ces productions sont « travaillées » avant d’être incorporées aux rations animales ainsi ce sont des tourteaux de soja ou colza (résidus issus du pressurage des graines) qui sont utilisés ou des graines toastées c’est-à-dire cuites. En France, les besoins en protéines pour l’alimentation des animaux d’élevage ne sont pas couverts par la production de protéines françaises. Résultat : nous importons des protéines végétales venant de l’étranger, principalement d’Amérique du Sud, et possiblement OGM.

Face à ce constat, le Négoce Agricole Pasquier VGT’al a décidé de développer les cultures de soja, lupin et féverole afin de fabriquer de l’aliment d’élevage à base de protéines françaises et non-OGM. Les graines de ces cultures sont peu digestibles par les animaux en l’état. L’entreprise a donc décidé d’acquérir en 2016 un toasteur afin de « cuire » (285°C pendant 3 minutes) les graines de soja, lupin et féverole pour les rendre digestibles. Environ 3000 t de graines sont toastées chaque année et la production peut monter à 5000 t.

D’amont en aval, l’acquisition du toasteur a été positive. En amont, les cultures sont plus diversifiées en raison de l’introduction de soja, lupin ou féverole. Cette diversification permet de limiter les apports d’intrants. En aval, le débouché de ces cultures est sécurisé. Les éleveurs ont la garantie d’avoir pour leurs animaux une alimentation de qualité, 100% française et sans OGM.

Installation de toastage

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La certification HVE à l’honneur lors des assemblées générales des Négociants agricoles en Nouvelle-Aquitaine

Les assemblées générales des syndicats de Négociants agricoles ont eu lieu courant mars. Une thématique a été commune en Aquitaine, Limousin et Poitou : la certification Haute Valeur Environnementale (HVE) des exploitations agricoles.

La certification HVE est une certification mise en place en 2010 afin d’offrir à l’agriculture conventionnelle une certification environnementale pouvant être une alternative à l’agriculture biologique. Les exploitations certifiées doivent respecter un cahier des charges avec obligation de résultats sur la biodiversité, la fertilisation des cultures, l’utilisation des produits phytopharmaceutiques (couramment appelés pesticides) et l’irrigation. Les exploitations sont certifiées pour une durée de 3 ans et peuvent apposer un logo sur leurs productions.

La région Nouvelle-Aquitaine souhaite inciter les agriculteurs à s’engager dans cette certification en mettant en place une démarche d’accompagnement facilitant leur engagement d’un point de vue administratif et financier. Afin de permettre à la région de présenter la certification HVE et la démarche qu’elle met en place pour inciter à la certification des exploitations, 3 interventions ont été réalisées au cours des assemblées générales des Négociants agricoles d’Aquitaine, du Limousin et du Poitou. Ces interventions ont permis à des agents de la région Nouvelle-Aquitaine d’échanger avec les Négociants agricoles sur les opportunités offertes par la mise en place de cette certification chez les agriculteurs ainsi que sur les difficultés techniques liées au respect du cahier des charges.

Un point important reste à résoudre : la certification HVE et son logo restent méconnus des consommateurs et la plus-value économique pour les agriculteurs n’est actuellement pas au rendez-vous.

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Se couvrir face à la pollution de l’eau par les nitrates

Le syndicat des eaux de Charente-Maritime organisait pour la première fois un concours du plus beau couvert d’interculture sur le bassin versant de l’Arnoult, une zone sur laquelle la qualité de l’eau est altérée notamment par les nitrates.

Les moissons ayant lieu l’été pour de nombreuses cultures céréalières, si la culture suivante n’est mise en place qu’au printemps (maïs ou tournesol par exemple), le sol resterait nu pendant une grande partie de l’année (automne, hiver). Pour couvrir le sol pendant cette période, des couverts végétaux appelés couverts d’interculture sont semés après les moissons jusqu’au début de l’hiver, période où ils sont détruits (broyage par exemple). Ces couverts en poussant absorbent les nitrates restant dans le sol et évitent ainsi qu’ils se retrouvent dans l’eau.

Pour valoriser cette pratique bénéfique pour la qualité de l’eau mais aussi pour la vie des sols, le Syndicats des eaux de Charente Maritime a initié en 2018 un concours du plus beau couvert d’interculture. Un jury composé d’agronomes, d’élus et du syndicat des eaux a noté les couverts par rapport à un ensemble de critères définis préalablement dont la biomasse du couvert. 14 agriculteurs ont participé au concours et les 5 meilleurs ont été récompensés fin janvier 2019. Pour marquer son engagement en faveur de l’implantation de couverts végétaux d’interculture, la fédération régionale des négociants agricoles – Négoce Agricole Centre-Atlantique – a offert un livre sur les couverts végétaux aux 5 agriculteurs arrivés en tête du concours. Des lots de semences de couverts ont également récompensé les heureux vainqueurs.

Les vainqueurs du concours 2019

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Conférence de presse du 18 janvier 2019 au sein de la Société de Meunerie et de Boulangerie de Sainte Sévère (16)

Retour en images sur la conférence de presse du 18 janvier 2019 : « Les engrais verts : alliés d’une viticulture durable »

La conférence de presse avait lieu à Sainte Sévère (Charente). Dans les locaux de la Société de Meunerie et de Boulangerie. Et oui, on va parler de viticulture dans une meunerie.

La meunerie de Sainte Sévère a été construite suite à la Première Guerre Mondiale et fonctionne depuis 1921 ! Des impacts de balles datant de la Seconde Guerre Mondiale sont visibles sur la façade.

Le directeur de la meunerie présente les différentes activités de l’entreprise. Si l’activité de meunerie est toujours présente avec 350 tonnes de farine produites par an en filière locale, l’entreprise a également une activité de conseil et vente de fournitures aux agriculteurs. Et à proximité de Cognac, les agriculteurs sont presque tous des viticulteurs!

Depuis 2007, la Meunerie de Sainte Sévère est impliquée dans des actions environnementales en faveur de la qualité de l’eau. La quasi totalité des agriculteurs clients de la meunerie sont sur une aire d’alimentation de captages prioritaires. L’EPTB Charente présente les enjeux de préservation de la qualité de l’eau sur l’aire d’alimentation des captages de Coulonge et Saint Hippolyte.

Les engrais verts semés dans les vignes font parties des actions développées par la Meunerie de Sainte Sévère pour la qualité de l’eau. Un engrais vert, c’est un couvert végétal semé dans les inter-rangs de vignes entre octobre et avril. Le rôle de ce couvert est d’apporter des effets bénéfiques à la culture de la vigne. 400 ha semés en 2018 autour de Sainte Sévère.

Vie du sol, Absorption de nitrates, structuration du sol par les racines, lutte contre l’érosion, confort de travail l’hiver, meilleure décomposition des bois de taille, contrôle des mauvaises herbes : autant d’intérêts des engrais verts en viticulture.

Des vendanges à début avril, une allée sur 2 est couverte par des engrais verts composés d’un mélange de plusieurs espèces. Ici, avoine et féverole.

Après 2 ans d’essais financés par l’Agence de l’eau Adour-Garonne, la Meunerie de Sainte Sévère a développé les engrais verts sur 800 ha de vignes en 2018 soit 1/4 de ses clients viticulteurs et 1/3 des surfaces en vignes du secteur.

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Mobilisation collective pour le Cognac et la qualité de l’eau

En 2015, un accord pour la mise aux normes des exploitations viticoles des Charentes concernant la gestion de leurs effluents était passé entre les acteurs de la filière. Cet accord a pris fin au 1er janvier 2019. Les négociants agricoles, au même titre que les autres acteurs de la filière Cognac, ont participé à cet accord.

Les exploitations viticoles des Charentes produisent 2 types d’effluents :

  • Des effluents phytosanitaires, qui correspondent en grande partie aux eaux de lavage des pulvérisateurs utilisés pour appliquer des produits de protection des plantes, couramment appelés pesticides, sur les vignes.
  • Des effluents organiques qui sont issus des activités de vinification et distillation. Par exemple, les eaux de rinçage de cuves.

Pour ne pas que ces effluents induisent des problèmes sur l’environnement et notamment sur la qualité de l’eau, leur gestion doit être réglementairement conforme. Afin d’accélérer la mise en conformité des exploitations viticoles sur ce volet, l’Agence de l’eau Adour-Garonne et les services de l’Etat ont mis en place un accord-cadre en 2015. Cet accord, animé par l’interprofession du Cognac, demandait aux acteurs de la filière de réaliser des diagnostics chez les viticulteurs pour évaluer la bonne gestion de leurs effluents et préconiser des solutions. L’Agence de l’eau Adour-Garonne a, de son côté, mis en place des aides pour accompagner les investissements de mises aux normes.

L’accord-cadre mis en place sur la période 2015-2018 vient de s’achever. Les Négociants Agricoles en tant qu’acteurs de la filière Cognac étaient signataires de cet accord et ont participé à la réalisation de diagnostics chez les viticulteurs. Ainsi, ce ne sont pas moins de 135 diagnostics qui ont été réalisés par les Négociants Agricoles durant la période de l’accord-cadre soit 20% des diagnostics totaux.

Les mises aux normes réalisées permettront une amélioration de la qualité de l’eau en Charente et Charente-Maritime.

Dispositif de traitement des effluents phytosanitaires

Citerne souple pour le stockage des effluents organiques

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Conférence de presse du 22 novembre 2018 au sein de l’entreprise NÉOLIS

Retour en images sur la présentation de NÉOLIS sur le thème « Les couverts végétaux : une solution pour réduire les nitrates dans l’eau ».

L’entreprise de Négoce Agricole NÉOLIS intervient sur les départements 16, 79, 86, 87. Elle est impliquée depuis plus de 15 ans dans les démarches environnementales : services, outils d’aide à la décision, expérimentations.

Les couverts végétaux d’interculture sont semés entre la récolte d’une culture principale (par exemple blé) et le semis de la culture principale suivante (par exemple maïs). Ils sont généralement présents durant l’automne et le début de l’hiver.

Leur rôle principal est l’absorption des nitrates restant dans le sol, c’est pourquoi on les appelle Cultures Intermédiaires Pièges A Nitrates (CIPAN).

Les CIPAN permettent en plus d’apporter de la matière organique au sol, de limiter l’érosion, de favoriser la biodiversité (ressources alimentaires pour les pollinisateurs et les organismes vivant dans le sol, refuge pour la petite faune).

Depuis 2 ans, NÉOLIS met en place un essai sur les Cultures Intermédiaires Pièges A Nitrates (CIPAN) sur le bassin versant de la Boutonne Amont dans le cadre d’un programme de reconquête de la qualité de l’eau (Re-Sources). Néolis travaille en lien avec le syndicat des eaux local et l’Agence de l’eau Adour-Garonne.

NÉOLIS teste chez un agriculteur, différents mélanges de CIPAN, différents modes de semis et différentes méthodes de destruction (non-chimiques).

Chaque année, NÉOLIS fait visiter ses essais sur les CIPAN pour diffuser les résultats aux agriculteurs.

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Sensibiliser les conseillers sur le désherbage et les ressources en eau

Parmi les produits de protection des plantes, couramment appelés pesticides, les herbicides sont ceux qui sont le plus souvent retrouvés dans les eaux. Le phénomène n’est pas simple à comprendre et diffère selon de nombreux facteurs. 3 sessions de formation ont permis de sensibiliser les conseillers des agriculteurs à ce problème.

35 conseillers travaillant pour 14 entreprises de Négoce Agricole ont été sensibilisés à la problématique du désherbage et des ressources en eau au cours du mois de novembre 2018. Parmi les produits de protection des plantes, les herbicides se retrouvent fréquemment dans les eaux. Les explications sont multiples et complexes à comprendre. Néanmoins, il est constaté que certains produits sont plus souvent retrouvés dans les eaux et ce, même sur des cultures peu consommatrices de produits de protection des plantes. La problématique est donc plus compliquée qu’une simple règle de proportionnalité.

Afin de sensibiliser les conseillers de Négoce Agricole à ce problème d’herbicides retrouvés dans les eaux et réfléchir aux conseils à apporter dans différentes situations, 3 sessions de formation ont été organisées sur le thème « Concilier désherbage du maïs et préservation des ressources en eau » sur 3 secteurs géographiques différents : Loir-et-Cher, Charente-Maritime et Gironde.

La formation, assurée par une structure spécialisée dans les productions de céréales, rappelait les bases d’un désherbage réussi en se basant sur la culture du maïs, puis s’intéressait au transfert des molécules d’herbicides dans les eaux. En fonction du type de pollution, les réponses à apporter diffèrent. La formation soulignait l’importance d’identifier le principal mode de circulation de l’eau dans un sol afin de pouvoir adapter son conseil.

Ces formations, au-delà de l’apport de connaissances qu’elles permettent, sont des moments de réflexions et d’échanges entre conseillers sur leur métier.

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Travailler collectivement sur l’avenir de la protection des cultures

Les entreprises de Négoce Agricole des régions Nouvelle-Aquitaine et Centre-Val de Loire animent 14 groupes d’agriculteurs dits « groupes 30 000 » pour travailler collectivement sur l’avenir de la protection des cultures.

Les groupes 30 000 sont des collectifs comprenant généralement entre 10 et 20 agriculteurs souhaitant travailler sur la réduction des usages et impacts des produits phytopharmaceutiques couramment appelé pesticides. Ces groupes ont été constitués dans le cadre du plan Ecophyto destiné à réduire l’usage des produits phytopharmaceutiques en France. L’objectif est d’avoir 30 000 exploitations agricoles engagées dans une démarche collective de réduction des usages et impacts des produits phytopharmaceutiques d’où le terme de groupe 30 000.

En Nouvelle Aquitaine et Centre-Val de Loire, les entreprises de Négoce Agricole ont constitué et animent 14 groupes 30 000 depuis 2017. 3 groupes sont localisés en région Centre tandis que les 11 groupes restants sont en Nouvelle Aquitaine. Les 2 grandes catégories de cultures sur lesquelles travaillent les groupes sont la viticulture pour 8 groupes et les grandes cultures (blé, maïs, tournesol…) pour 6 groupes.

Chaque groupe a défini les leviers sur lesquels il souhaite travailler selon la culture concernée. En viticulture, les groupes vont principalement travailler sur la réduction du désherbage, l’utilisation de bio-pesticides (biocontrôle) et le matériel de pulvérisation. En grandes cultures, les groupes vont travailler sur l’allongement des rotations, les couverts végétaux et le travail du sol.

Un diagnostic est réalisé auprès de chaque exploitation agricole pour dégager des marges de progrès puis un plan d’actions sur 3 ans est mis en place. En plus de ces actions individuelles, des actions collectives (réunions de groupes, visites, rencontres avec d’autres groupes…) auront lieu régulièrement au cours des 3 années du projet.

Ces 14 groupes sont un début puisque d’autres entreprises de Négoce Agricole sont d’ores et déjà en train de travailler à la constitution de nouveaux groupes.

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Le fonctionnement biologique des sols intéresse les conseillers

Le 12 septembre 2018, des conseillers de Négoce Agricole de Nouvelle Aquitaine – venant des Deux-Sèvres au Lot-et-Garonne en passant par les Charentes et la Gironde- étaient réunis à Niort (79) pour une journée technique consacrée à la matière organique et au fonctionnement biologique des sols ; thématique centrale dans la mise en place de systèmes agricoles durables.

Cette journée, à l’initiative du Négoce Agricole Centre Atlantique, était animée par un expert d’Arvalis – Institut du végétal ; l’Agence de l’eau Adour-Garonne a soutenu financièrement l’opération.

Dans le contexte actuel de développement de systèmes de cultures plus durables, le sol est un élément crucial. Diminution du travail du sol, développement des couverts végétaux permanents, apports de fumiers : ces pratiques ont un impact sur le sol et la matière organique qu’il contient. Cette matière organique a de nombreux effets : sur la stabilité du sol, sur la fourniture d’éléments nutritifs aux plantes et sur la circulation de l’eau.

Les sols agricoles sont-ils morts ? Non, mais il faut entretenir leur stock de matière organique. Les apports organiques d’origine animale (fumiers/lisiers/compost) ou végétale (pailles, couverts végétaux) permettent d’entretenir la matière organique d’un sol.

La journée abordait également les organismes vivants du sol. Sous une prairie en région tempérée, ces organismes pèsent pour 4.5 tonnes par hectare. Ils sont d’une grande diversité et remplissent de nombreuses fonctions. Beaucoup reste encore à découvrir sur cet aspect.

Les participants ont pu questionner l’intervenant par rapport aux problématiques rencontrées sur le terrain auprès des agriculteurs. Il apparaît que la matière organique du sol est un élément très important à prendre en compte. Les apports issus des élevages sont importants de ce point de vue et souligne l’importance de la présence d’élevages sur les territoires.

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