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Les conseillers de Négoce agricole cherchent la petite bête


Le 05 décembre dernier, 7 conseillers de Négoce Agricole des régions Nouvelle-Aquitaine et Centre-Val de Loire étaient réunis au cours d’une journée d’échanges autour de la biodiversité en grandes cultures.

Comment favoriser la biodiversité en zone de grandes cultures/polyculture-élevage ? C’est la question qui a réuni 7 conseillers de Négoce Agricole le 05 décembre dernier à Niort. Les pratiques agricoles ont un impact sur la biodiversité et celle-ci est à prendre en compte pour raisonner ces pratiques. En effet, la biodiversité a des effets positifs sur les cultures en rendant certains services (pollinisation, prédation/parasitisme de bio-agresseurs…) et il est intéressant de chercher à optimiser ces services rendus. Il faut également noter que la biodiversité a également des côtés négatifs du point de vue de l’agriculture (attaque de ravageurs sur les cultures, concurrence avec des herbes indésirables, impact sur la qualité du produit récolté…).  Il est intéressant de chercher à favoriser les services positifs rendus par la biodiversité tout en contenant les côtés négatifs.

 La journée organisée par le Négoce Agricole Centre Atlantique et animée par Arvalis-institut du végétal (institut technique travaillant sur les grandes cultures) traitait de cette thématique. Elle a conjugué des temps d’apports théoriques avec des temps d’échanges entre conseillers.

Elle a permis de voir que ce sujet est complexe à appréhender car une pratique favorable à une espèce va souvent être défavorable à une autre espèce. Il est ainsi difficile de faire ressortir des pratiques agricoles favorables à la biodiversité dans son ensemble. Toutefois, il faut retenir que  la diversité est favorable à la biodiversité : diversité des cultures, diversité des paysages, diversité des pratiques agricoles…

 


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Échanges autour de l’eau et de l’agriculture en Loire-Bretagne


L’Agence de l’eau Loire-Bretagne est intervenue auprès des négociants agricoles de la région Centre-Val de Loire et du Poitou le 15 octobre et le 5 novembre dernier.

 

L’Agence a présenté le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) qui est le document qui planifie la gestion de l’eau à l’échelle d’un bassin hydrographique, Loire-Bretagne en l’occurrence. Le SDAGE fixe les objectifs de qualité d’eau à atteindre et l’ensemble des actions menées sur l’eau doivent être en cohérence avec le SDAGE. Ce sujet a été complété par une présentation de l’engagement financier de l’Agence de l’eau Loire-Bretagne par rapport aux problématiques agricoles et notamment concernant le développement de filières. Ce dernier point a fait l’objet de nombreux échanges entre les négociants agricoles, acteurs des filières, et l’Agence de l’eau.

Effectivement, le développement de nouvelles filières et nouvelles cultures sur les territoires est un sujet complexe. Pour les acteurs de l’eau et de l’agriculture, le développement de filières est intéressant car il permet de diversifier les cultures présentes sur un territoire et d’améliorer la gestion des intrants. Cette vision est partagée par les négociants agricoles mais il faut que la filière soit rentable économiquement et se maintienne dans le temps. C’est sur ces points que se trouvent les difficultés.

 

Ce type d’intervention est intéressant pour confronter les points de vue et amener les 2 parties à la réflexion.

 


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Couvrir les sols pour les protéger


Les Ets Nau, négoce agricole, organisait, le 17 septembre dernier, une formation sur l’intérêt des couverts végétaux en agriculture.

Couvrir les sols agricoles un maximum de temps dans l’année permet de limiter l’érosion, de prévenir la pollution par les nitrates et de stocker du carbone dans le sol, ce qui compense les émissions de gaz à effet de serre.

Dans le cadre du programme d’action Re-Sources pour l’amélioration de la qualité de l’eau des captages de Coulonge et Saint-Hippolyte (Charente et Charente-Maritime), les Ets Nau, entreprise de Négoce Agricole, ont organisé le 17 septembre dernier une session de formation pour les agriculteurs sur l’utilisation des couverts végétaux en agriculture.

Si les couverts végétaux permettent de répondre à de multiples enjeux (érosion, qualité de l’eau, fertilité des sols, biodiversité, atténuation du changement climatique), leur mise en place s’avère technique surtout dès lors que l’on cherche à maximiser leur présence et leur effet au sein d’une rotation de cultures.

Sarah SINGLA, agronome spécialiste du sujet des couverts végétaux, est intervenue pendant une journée auprès d’une quinzaine d’agriculteurs et techniciens afin d’exposer ses connaissances et méthodes sur le sujet. La formation, très claire et structurée, a permis de souligner l’intérêt des couverts végétaux et de fournir aux agriculteurs les clés de réussite pour leur implantation.

Les Ets Nau organisaient ce type de formation pour la 2ième année consécutive.

Un exemple d’action à poursuivre.


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Conférence de presse du 17 juillet 2019 au sein de l’entreprise Agrisem à Saintes (17)

Retour en images sur la conférence de presse du 17 juillet 2019 : « L’utilisation du robot de désherbage pour réduire l’utilisation d’herbicides chimiques et gagner en efficacité»


L’entreprise Agrisem est une entreprise de Négoce Agricole basée à Saintes. Elle accompagne les agriculteurs des filières maraîchage, horticulture et pépinières. Elle intervient également auprès des professionnels des espaces verts et du grand public avec 2 points de vente (Saintes et Beauvoir sur Niort). Agrisem intervient sur 7 départements (16, 17, 24, 33, 79, 86, 87). L’entreprise existe depuis plus de 85 ans et compte aujourd’hui 28 salariés. Plus d’informations sur l’entreprise sur www.agrisem-distribution.fr


Le robot OZ 440 est fabriqué en France par la société Naïo Technologies. Il est notamment utilisé en maraîchage.

L’entreprise Agrisem distribue le robot OZ et accompagne les agriculteurs dans son utilisation.

Le robot est composé d’une tête avec 2 caméras et un radar à l’avant. Il comprend un outil à l’arrière (outil de désherbage par exemple). Il fonctionne avec des batteries au lithium qui lui assure une autonomie de 10h.

Le robot OZ 440 permet d’accomplir des tâches de désherbage mécanique et de transport de matériels. Il permet une réduction d’usage des herbicides chimiques, réduit la pénibilité du travail de l’agriculteur et lui permet de gagner du temps.

Le robot ne remplace pas l’agriculteur car :

  • Il nécessite d’être programmé pour réaliser son travail.
  • En cas de problème, il s’arrête et envoie un sms à l’agriculteur.
  • Robot ou non, l’agriculteur doit raisonner ses interventions au champs en fonction des conditions pédo-climatiques afin d’avoir une bonne efficacité.

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Réduire l’utilisation de pesticides dans le vignoble de Cognac

Le 12 juillet 2019, le Groupe Piveteau, Négoce agricole basée en Charente, organisait la visite de sa plateforme d’essai sur la protection durable du vignoble. L’objectif de cette plateforme est de réduire l’usage des produits phytopharmaceutiques (pesticides) classiques en les remplaçant par des solutions naturelles dites de biocontrôle. Les solutions de biocontrôle consistent à utiliser des organismes vivants ou des substances naturelles pour protéger les cultures vis-à-vis des maladies, insectes nuisibles et herbes concurrentes. Ce sont des produits qui ont des modes d’action très variés.

L’essai mis en place combine des produits de biocontrôle et des produits classiques de protection de la vigne. Ces derniers sont utilisés aux stades les plus sensibles. Parmi les produits de biocontrôle utilisés, certains stimulent les défenses naturelles de la vigne et la prépare à réagir à une attaque de bioagresseurs, d’autres sont des substances naturelles (phéromones) qui perturbent la reproduction de papillons dont la chenille s’attaque aux baies de raisin.

150 viticulteurs étaient réunis à Mainxe (16) pour la visite de cet essai. Plusieurs ateliers étaient organisés au cours de la visite afin de présenter les différents produits utilisés. 2 stands présentaient des outils complémentaires pour le bon raisonnement de la protection du vignoble :

  • une station météo à placer sur l’exploitation afin d’avoir des données locales
  • un outil d’aide à la décision permettant de renseigner le viticulteur sur les risques de maladies dans ses parcelles de vignes. Cet outil peut prendre en compte les données de la station météo du viticulteur si celui-ci en a une.

D’année en année, l’itinéraire technique de protection de la vigne combinant protection classique et produits de biocontrôle se précise. Il permettra de protéger la vigne efficacement les années où la pression maladie est faible à modérée.

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Miscanthus en Limousin

Les Ets Agricentre Dumas, entreprise de Négoce Agricole, accompagnent les éleveurs du Limousin dans leur projet de plantation de miscanthus.

Le miscanthus est une graminée (herbe) de grande taille puisqu’elle peut atteindre 4 m dans les meilleures conditions.  La production de miscanthus par les agriculteurs est récente et encore peu développée. Le miscanthus est principalement utilisé comme combustibles renouvelables, paillage horticole ou litière pour les animaux d’élevage. La culture de miscanthus a l’intérêt de présenter de faibles besoins en intrants (pesticides, engrais). Elle permet de protéger le sol contre l’érosion et est favorable pour la qualité de l’eau. La culture restera en place pour une durée de 20 à 25 ans avec une récolte annuelle (la récolte ne détruit pas la culture).

En Limousin, certains éleveurs manquent de paille pour la litière de leurs vaches Limousines. Ils ne produisent pas assez de céréales à paille pour satisfaire ces besoins et recherchent des alternatives, c’est-à-dire des cultures qui pourraient fournir une litière pour les vaches et qui aurait un niveau de production élevé pour produire beaucoup sur de faibles surfaces. Le miscanthus remplit ce rôle et nécessite en plus peu d’intrants. Les Ets Agricentre Dumas, Négoce Agricole du Limousin, ont été sollicités par des agriculteurs intéressés pour implanter du miscanthus sans savoir vers qui se tourner. L’entreprise a donc coordonné le projet de plantation de 14 ha de miscanthus au printemps 2019 par 5 agriculteurs. Les plants et la planteuse ont été fournis par la société Novabiom. La première récolte aura lieu au cours de la 2ième année de mise en place de la culture. C’est à ce moment que l’on verra si la culture tient ses promesses et répond aux besoins des éleveurs. Toutefois, de nouvelles plantations sont d’ores et déjà prévues pour l’année prochaine.

Planteuse de miscanthus

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De l’alimentation pour les animaux d’élevage 100% française

L’entreprise de Négoce Agricole Pasquier VGT’al basée à Secondigny dans les Deux-Sèvres a investi en 2016 dans un toasteur. Objectif : produire de l’alimentation pour les animaux d’élevage 100% française et garantie sans OGM.

Les protéines sont très importantes dans l’alimentation des animaux d’élevage. Elles vont être apportées par du soja, du colza, du lupin ou de la féverole. Ces productions sont « travaillées » avant d’être incorporées aux rations animales ainsi ce sont des tourteaux de soja ou colza (résidus issus du pressurage des graines) qui sont utilisés ou des graines toastées c’est-à-dire cuites. En France, les besoins en protéines pour l’alimentation des animaux d’élevage ne sont pas couverts par la production de protéines françaises. Résultat : nous importons des protéines végétales venant de l’étranger, principalement d’Amérique du Sud, et possiblement OGM.

Face à ce constat, le Négoce Agricole Pasquier VGT’al a décidé de développer les cultures de soja, lupin et féverole afin de fabriquer de l’aliment d’élevage à base de protéines françaises et non-OGM. Les graines de ces cultures sont peu digestibles par les animaux en l’état. L’entreprise a donc décidé d’acquérir en 2016 un toasteur afin de « cuire » (285°C pendant 3 minutes) les graines de soja, lupin et féverole pour les rendre digestibles. Environ 3000 t de graines sont toastées chaque année et la production peut monter à 5000 t.

D’amont en aval, l’acquisition du toasteur a été positive. En amont, les cultures sont plus diversifiées en raison de l’introduction de soja, lupin ou féverole. Cette diversification permet de limiter les apports d’intrants. En aval, le débouché de ces cultures est sécurisé. Les éleveurs ont la garantie d’avoir pour leurs animaux une alimentation de qualité, 100% française et sans OGM.

Installation de toastage

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La certification HVE à l’honneur lors des assemblées générales des Négociants agricoles en Nouvelle-Aquitaine

Les assemblées générales des syndicats de Négociants agricoles ont eu lieu courant mars. Une thématique a été commune en Aquitaine, Limousin et Poitou : la certification Haute Valeur Environnementale (HVE) des exploitations agricoles.

La certification HVE est une certification mise en place en 2010 afin d’offrir à l’agriculture conventionnelle une certification environnementale pouvant être une alternative à l’agriculture biologique. Les exploitations certifiées doivent respecter un cahier des charges avec obligation de résultats sur la biodiversité, la fertilisation des cultures, l’utilisation des produits phytopharmaceutiques (couramment appelés pesticides) et l’irrigation. Les exploitations sont certifiées pour une durée de 3 ans et peuvent apposer un logo sur leurs productions.

La région Nouvelle-Aquitaine souhaite inciter les agriculteurs à s’engager dans cette certification en mettant en place une démarche d’accompagnement facilitant leur engagement d’un point de vue administratif et financier. Afin de permettre à la région de présenter la certification HVE et la démarche qu’elle met en place pour inciter à la certification des exploitations, 3 interventions ont été réalisées au cours des assemblées générales des Négociants agricoles d’Aquitaine, du Limousin et du Poitou. Ces interventions ont permis à des agents de la région Nouvelle-Aquitaine d’échanger avec les Négociants agricoles sur les opportunités offertes par la mise en place de cette certification chez les agriculteurs ainsi que sur les difficultés techniques liées au respect du cahier des charges.

Un point important reste à résoudre : la certification HVE et son logo restent méconnus des consommateurs et la plus-value économique pour les agriculteurs n’est actuellement pas au rendez-vous.

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Se couvrir face à la pollution de l’eau par les nitrates

Le syndicat des eaux de Charente-Maritime organisait pour la première fois un concours du plus beau couvert d’interculture sur le bassin versant de l’Arnoult, une zone sur laquelle la qualité de l’eau est altérée notamment par les nitrates.

Les moissons ayant lieu l’été pour de nombreuses cultures céréalières, si la culture suivante n’est mise en place qu’au printemps (maïs ou tournesol par exemple), le sol resterait nu pendant une grande partie de l’année (automne, hiver). Pour couvrir le sol pendant cette période, des couverts végétaux appelés couverts d’interculture sont semés après les moissons jusqu’au début de l’hiver, période où ils sont détruits (broyage par exemple). Ces couverts en poussant absorbent les nitrates restant dans le sol et évitent ainsi qu’ils se retrouvent dans l’eau.

Pour valoriser cette pratique bénéfique pour la qualité de l’eau mais aussi pour la vie des sols, le Syndicats des eaux de Charente Maritime a initié en 2018 un concours du plus beau couvert d’interculture. Un jury composé d’agronomes, d’élus et du syndicat des eaux a noté les couverts par rapport à un ensemble de critères définis préalablement dont la biomasse du couvert. 14 agriculteurs ont participé au concours et les 5 meilleurs ont été récompensés fin janvier 2019. Pour marquer son engagement en faveur de l’implantation de couverts végétaux d’interculture, la fédération régionale des négociants agricoles – Négoce Agricole Centre-Atlantique – a offert un livre sur les couverts végétaux aux 5 agriculteurs arrivés en tête du concours. Des lots de semences de couverts ont également récompensé les heureux vainqueurs.

Les vainqueurs du concours 2019

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Conférence de presse du 18 janvier 2019 au sein de la Société de Meunerie et de Boulangerie de Sainte Sévère (16)

Retour en images sur la conférence de presse du 18 janvier 2019 : « Les engrais verts : alliés d’une viticulture durable »

La conférence de presse avait lieu à Sainte Sévère (Charente). Dans les locaux de la Société de Meunerie et de Boulangerie. Et oui, on va parler de viticulture dans une meunerie.

La meunerie de Sainte Sévère a été construite suite à la Première Guerre Mondiale et fonctionne depuis 1921 ! Des impacts de balles datant de la Seconde Guerre Mondiale sont visibles sur la façade.

Le directeur de la meunerie présente les différentes activités de l’entreprise. Si l’activité de meunerie est toujours présente avec 350 tonnes de farine produites par an en filière locale, l’entreprise a également une activité de conseil et vente de fournitures aux agriculteurs. Et à proximité de Cognac, les agriculteurs sont presque tous des viticulteurs!

Depuis 2007, la Meunerie de Sainte Sévère est impliquée dans des actions environnementales en faveur de la qualité de l’eau. La quasi totalité des agriculteurs clients de la meunerie sont sur une aire d’alimentation de captages prioritaires. L’EPTB Charente présente les enjeux de préservation de la qualité de l’eau sur l’aire d’alimentation des captages de Coulonge et Saint Hippolyte.

Les engrais verts semés dans les vignes font parties des actions développées par la Meunerie de Sainte Sévère pour la qualité de l’eau. Un engrais vert, c’est un couvert végétal semé dans les inter-rangs de vignes entre octobre et avril. Le rôle de ce couvert est d’apporter des effets bénéfiques à la culture de la vigne. 400 ha semés en 2018 autour de Sainte Sévère.

Vie du sol, Absorption de nitrates, structuration du sol par les racines, lutte contre l’érosion, confort de travail l’hiver, meilleure décomposition des bois de taille, contrôle des mauvaises herbes : autant d’intérêts des engrais verts en viticulture.

Des vendanges à début avril, une allée sur 2 est couverte par des engrais verts composés d’un mélange de plusieurs espèces. Ici, avoine et féverole.

Après 2 ans d’essais financés par l’Agence de l’eau Adour-Garonne, la Meunerie de Sainte Sévère a développé les engrais verts sur 800 ha de vignes en 2018 soit 1/4 de ses clients viticulteurs et 1/3 des surfaces en vignes du secteur.

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