• Actualités
  • Mieux comprendre
  • Témoignages
  • Cultures
    • Blé
    • Maïs
    • Colza
    • Tournesol
    • Vigne
  • Aller plus loin
    • Accompagnement
    • Revue de presse
  • Contact
Twitter YouTube
VERTLAVENIR_300DPI-BLANC-VERT VERTLAVENIR_300DPI-BLANC-VERT
Twitter YouTube
  • Actualités
  • Mieux comprendre
  • Témoignages
  • Cultures
    • Blé
    • Maïs
    • Colza
    • Tournesol
    • Vigne
  • Aller plus loin
    • Accompagnement
    • Revue de presse
  • Contact

<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

« Tester les alternatives au glyphosate en viticulture »


Les Ets Fortet-Dufaud, Négoce agricole spécialisé en viticulture, mettent en place depuis 3 ans des plateformes d’essais avec le Domaine viticole Boinaud afin de définir la protection du vignoble de demain.

Si les Ets Fortet-Dufaud sont présents dans les vignobles de Gironde et des Charentes, c’est du côté de Cognac qu’ils expérimentent sur un domaine viticole des pratiques de protection de la vignes destinées à réduire l’utilisation des pesticides.

Des alternatives au glyphosate sont notamment testées cette année. La suppression annoncée de cet herbicide oblige à rechercher d’autres solutions. Le désherbage des vignes reste nécessaire pour limiter la concurrence vis-à-vis de l’eau et des éléments nutritifs comme l’azote. L’arrêt du glyphosate ne signifie l’arrêt du désherbage mais va changer la manière de procéder avec des solutions qui vont devoir être combinées entre elles et qui vont varier d’une année à l’autre pour s’adapter au contexte climatique.

Plusieurs modalités ont été testées, toutes sans glyphosate. Parmi elles, on trouve l’enherbement total du vignoble qui consiste à implanter un couvert végétal sur l’ensemble de la parcelle de vignes, y compris sous le rang. Cette pratique, outres la difficulté technique pour semer sous le rang de vigne, a connu quelques difficultés de mise en place suite à l’automne 2019 très pluvieux. Le semis, trop tardif, n’a pas permis cette année d’avoir un résultat concluant.

Le désherbage mécanique est également testé. Cette technique est également tributaire des conditions météorologiques pour être réalisée dans de bonnes conditions. L’aspect limitant reste le temps de travail qui augmente avec ce type de pratique. L’impact carbone via la consommation de carburant pose également question.

Le glyphosate ne sera pas remplacé par une solution unique mais par une combinaison de plusieurs solutions qui sont variables entre zones géographiques et entre années. L’avenir de la viticulture est dans l’adaptation permanente.


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

« A vos couverts, prêts, semez ! »


Pour la 2ième année consécutive, le syndicat des eaux de Charente-Maritime, Eau 17, organisait un concours du plus beau couvert d’interculture.


L’interculture correspond à la période entre la moisson d’une culture et le semis de la culture suivante. Pendant cette période, un couvert végétal peut être semé par l’agriculteur. En se développant, il va capter l’azote du sol et éviter son lessivage vers les eaux (nappes phréatiques, rivières…). Il s’agit donc d’une pratique favorable à la qualité de l’eau. Le couvert végétal est soit détruit soit récolté (généralement pour nourrir les animaux d’élevage) avant de semer la culture suivante.

Pour inciter les agriculteurs des aires d’alimentation de captages d’eau à implanter des couverts d’interculture, le syndicat des eaux de Charente-Maritime, Eau 17, organisait pour la 2ième année consécutive un concours du plus beau couvert d’interculture. Cette année, le concours a été élargi à 6 aires d’alimentation de captages de Charente-Maritime avec la participation de la Communauté d’Agglomérations de La Rochelle. Cette action s’inscrit dans un programme plus large de protection des ressources en eau destinées à la production d’eau potable, le programme Re-Sources en Nouvelle-Aquitaine.

Un jury composé d’agronomes, d’enseignant en lycée agricole et d’élus a rendu son verdict suite à la réception des candidatures. 8 lauréats ont été désignés en fonction du secteur géographique et du type de couvert. Si le contexte lié à l’épidémie de Covid-19 n’a pas permis la tenue de la cérémonie de remise des prix, les gagnants se verront tout de même remettre des lots de semences, livres et paniers garnis.

Pour montrer son soutien envers cette initiative et cette pratique favorable à la qualité de l’eau, le syndicat des négociants agricoles, Négoce Agricole Centre-Atlantique, a souhaité offrir des livres sur la vie des sols à une partie des lauréats.


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

3 nouveaux groupes 30 000 à Cognac


3 nouveaux groupes 30 000 animés par des entreprises de Négoce Agricole ont vu le jour en viticulture cognaçaise.


Les groupes 30 000 sont des groupes d’une dizaine d’agriculteurs qui travaillent sur la mise en place de pratiques permettant de réduire l’utilisation de produits phytopharmaceutiques, couramment appelés pesticides. Un animateur issu d’une structure agricole se charge de faire vivre le groupe pendant 3 ans et d’accompagner les agriculteurs dans la mise en place de pratiques vertueuses. Des indicateurs de suivi permettent de suivre l’évolution des pratiques de chaque exploitation. Le nombre 30 000 fait référence à la volonté de l’Etat d’accompagner 30 000 exploitations agricoles dans cette démarche.

Dans le vignoble des Charentes, les viticulteurs et structures agricoles sont confrontés à une problématique bien spécifique : comment concilier un fort besoin en production porté par un marché du Cognac florissant et une demande sociétale pour réduire l’usage des pesticides ? Même si les groupes 30 000 sont développés au niveau national, cette démarche répond bien à la problématique du vignoble de Cognac.

Suite à l’appel à projet 2020 en Nouvelle-Aquitaine, les 3 candidatures de groupes 30 000 portés par des entreprises de Négoce Agricole ont été acceptées. Les 3 groupes représentent 41 exploitations viticoles et une surface de vignes de 1 308 ha. L’un des groupes a la particularité de travailler avec des pépiniéristes viticoles. Parmi les pratiques qui vont être mises en place par ces groupes, on retrouve l’utilisation de couverts végétaux en viticulture et la réduction d’utilisation de fongicides à l’aide de produits biostimulants et de bio-pesticides (produits de biocontrôle).

Les entreprise de Négoce Agricole qui animent ces groupes sont les Ets Etourneaud (Groupe Isidore), les Ets Landreau Agro et la Société de Meunerie et de Boulangerie de Sainte Sévère. L’animation des groupes 30 000 est subventionnée par les agences de l’eau, Adour-Garonne en l’occurrence.


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Accompagner les agriculteurs vers la certification HVE


Logo HVE

HVE pour Haute Valeur Environnementale. Les Ets Sansan, entreprise de Négoce Agricole basée à Nérac dans le Lot-et-Garonne, ont décidé de prendre le taureau par les cornes et d’accompagner leurs clients agriculteurs dans la certification HVE.


La certification HVE est une certification qui s’applique à une exploitation agricole dans son ensemble. Elle traite de 4 domaines :

  • La protection de la biodiversité
  • La stratégie de protection des cultures
  • La gestion de la fertilisation azotée
  • La gestion de la ressource en eau (irrigation)

Chaque domaine est évalué avec une obligation de résultats. Un niveau minimum d’exigence est requis sur chaque domaine afin de pouvoir être certifié HVE pour une durée de 3 ans. Des audits réalisés par des organismes certificateurs indépendants garantissent le respect des critères de cette certification. Un logo national peut être apposé sur les produits issus d’exploitations certifiées HVE.

Dans le cas des Ets Sansan, le choix qui a été fait c’est de faciliter l’accès des agriculteurs qu’ils accompagnent à la certification HVE en mettant en place une démarche dite de certification collective. Les Ets Sansan engagent un groupe d’agriculteurs dans la certification HVE et sont chargés de vérifier au démarrage et chaque année la conformité de l’ensemble des agriculteurs de leur groupe aux critères HVE. De plus, chaque année, un organisme certificateur indépendant contrôle les Ets Sansan et un panel d’agriculteurs de leur groupe pour vérifier le respect des critères de certification. Les Ets Sansan sont aidés financièrement dans la mise en place de cette démarche par la région Nouvelle-Aquitaine.


Session de présentation du cahier des charges de la certification HVE
<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Locale et durable


S’il fallait caractériser la filière mise en place par les Ets Suplisson et le Moulin des Gaults (Groupe Foricher) dans le Loiret, ce serait locale et durable qui conviendraient le mieux.

La conférence de presse Vert l’avenir du 28 janvier dernier avait lieu au sein des Ets Suplisson à Coullons dans le Loiret.

Les Ets Suplisson, entreprise familiale de Négoce Agricole, accompagnent les agriculteurs depuis plus de 70 ans. Martin Suplisson dirige avec son père l’entreprise créée par son arrière-grand-père. L’entreprise collecte depuis 2014 des blés CRC (Culture Raisonnée Contrôlée). Ces blés sont produits sous cahier des charges.

Les principaux points du cahier des charges concernent :

– la localisation de la parcelle (distance à respecter par rapport aux grands axes routiers).

– le suivi technique. Toute intervention sur la culture doit être raisonnée et justifiée).

– le respect de l’environnement. Seuls certains pesticides sont autorisés.

– le stockage des grains sans insecticide. Au sein des Ets Suplisson, le nettoyage des grains et leur ventilation permettent de se passer d’insecticide.

– la traçabilité du champ au pain. En cas de problème, il faut pouvoir remonter de la baguette de pain jusqu’au champ de l’agriculteur.

– L’analyse du grain. Il y a une obligation de résultats sur ce point notamment par rapport à l’absence de résidus de pesticides.

Des contrôles internes et externes garantissent le respect de ces exigences.

Les blés CRC collectés par les Ets Suplisson sont vendus au Moulin des Gaults (Groupe Foricher) situé à 10 km des silos. Le Moulin des Gaults ne travaille qu’avec des artisans boulangers et la qualité des farines produites dépend de la qualité des blés utilisés pour les produire. Le travail des agriculteurs et du négociant agricole est essentiel pour répondre à ce besoin du meunier. Pour cela, une quinzaine de variétés de blé différentes sont produites. Les mélanges entre variétés permettent de répondre aux demandes du moulin et d’assurer une qualité régulière des farines au cours du temps.

Les Ets Suplisson ont investi dans un silo avec des cellules dédiées au stockage des 5000 à 6000 t de blé CRC produites par une cinquantaine d’agriculteurs. Ces blés, représentant ¼ des blés collectés par les Ets Suplisson, sont produits dans un rayon de 30 km autour de Coullons.

 


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Les conseillers de Négoce agricole cherchent la petite bête


Le 05 décembre dernier, 7 conseillers de Négoce Agricole des régions Nouvelle-Aquitaine et Centre-Val de Loire étaient réunis au cours d’une journée d’échanges autour de la biodiversité en grandes cultures.

Comment favoriser la biodiversité en zone de grandes cultures/polyculture-élevage ? C’est la question qui a réuni 7 conseillers de Négoce Agricole le 05 décembre dernier à Niort. Les pratiques agricoles ont un impact sur la biodiversité et celle-ci est à prendre en compte pour raisonner ces pratiques. En effet, la biodiversité a des effets positifs sur les cultures en rendant certains services (pollinisation, prédation/parasitisme de bio-agresseurs…) et il est intéressant de chercher à optimiser ces services rendus. Il faut également noter que la biodiversité a également des côtés négatifs du point de vue de l’agriculture (attaque de ravageurs sur les cultures, concurrence avec des herbes indésirables, impact sur la qualité du produit récolté…).  Il est intéressant de chercher à favoriser les services positifs rendus par la biodiversité tout en contenant les côtés négatifs.

 La journée organisée par le Négoce Agricole Centre Atlantique et animée par Arvalis-institut du végétal (institut technique travaillant sur les grandes cultures) traitait de cette thématique. Elle a conjugué des temps d’apports théoriques avec des temps d’échanges entre conseillers.

Elle a permis de voir que ce sujet est complexe à appréhender car une pratique favorable à une espèce va souvent être défavorable à une autre espèce. Il est ainsi difficile de faire ressortir des pratiques agricoles favorables à la biodiversité dans son ensemble. Toutefois, il faut retenir que  la diversité est favorable à la biodiversité : diversité des cultures, diversité des paysages, diversité des pratiques agricoles…

 


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Échanges autour de l’eau et de l’agriculture en Loire-Bretagne


L’Agence de l’eau Loire-Bretagne est intervenue auprès des négociants agricoles de la région Centre-Val de Loire et du Poitou le 15 octobre et le 5 novembre dernier.

 

L’Agence a présenté le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) qui est le document qui planifie la gestion de l’eau à l’échelle d’un bassin hydrographique, Loire-Bretagne en l’occurrence. Le SDAGE fixe les objectifs de qualité d’eau à atteindre et l’ensemble des actions menées sur l’eau doivent être en cohérence avec le SDAGE. Ce sujet a été complété par une présentation de l’engagement financier de l’Agence de l’eau Loire-Bretagne par rapport aux problématiques agricoles et notamment concernant le développement de filières. Ce dernier point a fait l’objet de nombreux échanges entre les négociants agricoles, acteurs des filières, et l’Agence de l’eau.

Effectivement, le développement de nouvelles filières et nouvelles cultures sur les territoires est un sujet complexe. Pour les acteurs de l’eau et de l’agriculture, le développement de filières est intéressant car il permet de diversifier les cultures présentes sur un territoire et d’améliorer la gestion des intrants. Cette vision est partagée par les négociants agricoles mais il faut que la filière soit rentable économiquement et se maintienne dans le temps. C’est sur ces points que se trouvent les difficultés.

 

Ce type d’intervention est intéressant pour confronter les points de vue et amener les 2 parties à la réflexion.

 


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Couvrir les sols pour les protéger


Les Ets Nau, négoce agricole, organisait, le 17 septembre dernier, une formation sur l’intérêt des couverts végétaux en agriculture.

Couvrir les sols agricoles un maximum de temps dans l’année permet de limiter l’érosion, de prévenir la pollution par les nitrates et de stocker du carbone dans le sol, ce qui compense les émissions de gaz à effet de serre.

Dans le cadre du programme d’action Re-Sources pour l’amélioration de la qualité de l’eau des captages de Coulonge et Saint-Hippolyte (Charente et Charente-Maritime), les Ets Nau, entreprise de Négoce Agricole, ont organisé le 17 septembre dernier une session de formation pour les agriculteurs sur l’utilisation des couverts végétaux en agriculture.

Si les couverts végétaux permettent de répondre à de multiples enjeux (érosion, qualité de l’eau, fertilité des sols, biodiversité, atténuation du changement climatique), leur mise en place s’avère technique surtout dès lors que l’on cherche à maximiser leur présence et leur effet au sein d’une rotation de cultures.

Sarah SINGLA, agronome spécialiste du sujet des couverts végétaux, est intervenue pendant une journée auprès d’une quinzaine d’agriculteurs et techniciens afin d’exposer ses connaissances et méthodes sur le sujet. La formation, très claire et structurée, a permis de souligner l’intérêt des couverts végétaux et de fournir aux agriculteurs les clés de réussite pour leur implantation.

Les Ets Nau organisaient ce type de formation pour la 2ième année consécutive.

Un exemple d’action à poursuivre.


<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Conférence de presse du 17 juillet 2019 au sein de l’entreprise Agrisem à Saintes (17)

Retour en images sur la conférence de presse du 17 juillet 2019 : « L’utilisation du robot de désherbage pour réduire l’utilisation d’herbicides chimiques et gagner en efficacité»


L’entreprise Agrisem est une entreprise de Négoce Agricole basée à Saintes. Elle accompagne les agriculteurs des filières maraîchage, horticulture et pépinières. Elle intervient également auprès des professionnels des espaces verts et du grand public avec 2 points de vente (Saintes et Beauvoir sur Niort). Agrisem intervient sur 7 départements (16, 17, 24, 33, 79, 86, 87). L’entreprise existe depuis plus de 85 ans et compte aujourd’hui 28 salariés. Plus d’informations sur l’entreprise sur www.agrisem-distribution.fr


Le robot OZ 440 est fabriqué en France par la société Naïo Technologies. Il est notamment utilisé en maraîchage.

L’entreprise Agrisem distribue le robot OZ et accompagne les agriculteurs dans son utilisation.

Le robot est composé d’une tête avec 2 caméras et un radar à l’avant. Il comprend un outil à l’arrière (outil de désherbage par exemple). Il fonctionne avec des batteries au lithium qui lui assure une autonomie de 10h.

Le robot OZ 440 permet d’accomplir des tâches de désherbage mécanique et de transport de matériels. Il permet une réduction d’usage des herbicides chimiques, réduit la pénibilité du travail de l’agriculteur et lui permet de gagner du temps.

Le robot ne remplace pas l’agriculteur car :

  • Il nécessite d’être programmé pour réaliser son travail.
  • En cas de problème, il s’arrête et envoie un sms à l’agriculteur.
  • Robot ou non, l’agriculteur doit raisonner ses interventions au champs en fonction des conditions pédo-climatiques afin d’avoir une bonne efficacité.

<span class="entry-utility-prep entry-utility-prep-cat-links">Posted in</span> Actualités

Réduire l’utilisation de pesticides dans le vignoble de Cognac

Le 12 juillet 2019, le Groupe Piveteau, Négoce agricole basée en Charente, organisait la visite de sa plateforme d’essai sur la protection durable du vignoble. L’objectif de cette plateforme est de réduire l’usage des produits phytopharmaceutiques (pesticides) classiques en les remplaçant par des solutions naturelles dites de biocontrôle. Les solutions de biocontrôle consistent à utiliser des organismes vivants ou des substances naturelles pour protéger les cultures vis-à-vis des maladies, insectes nuisibles et herbes concurrentes. Ce sont des produits qui ont des modes d’action très variés.

L’essai mis en place combine des produits de biocontrôle et des produits classiques de protection de la vigne. Ces derniers sont utilisés aux stades les plus sensibles. Parmi les produits de biocontrôle utilisés, certains stimulent les défenses naturelles de la vigne et la prépare à réagir à une attaque de bioagresseurs, d’autres sont des substances naturelles (phéromones) qui perturbent la reproduction de papillons dont la chenille s’attaque aux baies de raisin.

150 viticulteurs étaient réunis à Mainxe (16) pour la visite de cet essai. Plusieurs ateliers étaient organisés au cours de la visite afin de présenter les différents produits utilisés. 2 stands présentaient des outils complémentaires pour le bon raisonnement de la protection du vignoble :

  • une station météo à placer sur l’exploitation afin d’avoir des données locales
  • un outil d’aide à la décision permettant de renseigner le viticulteur sur les risques de maladies dans ses parcelles de vignes. Cet outil peut prendre en compte les données de la station météo du viticulteur si celui-ci en a une.

D’année en année, l’itinéraire technique de protection de la vigne combinant protection classique et produits de biocontrôle se précise. Il permettra de protéger la vigne efficacement les années où la pression maladie est faible à modérée.

<span class="meta-nav"></span> Prev 1 … 3 4 5 6 7 … 9 Next <span class="meta-nav"></span>

Articles récents

  • Hydromulching : une solution innovante pour végétaliser durablement les espaces publics et privés
  • Chiche !
  • Des couverts, pour quoi faire ?
  • Une journée dédiée aux innovations en agriculture
  • Couvrir les sols viticoles en Gironde

Commentaires récents

    Archives

    • avril 2025
    • novembre 2024
    • octobre 2024
    • juin 2024
    • mars 2024
    • février 2024
    • septembre 2023
    • juin 2023
    • mai 2023
    • avril 2023
    • février 2023
    • janvier 2023
    • décembre 2022
    • septembre 2022
    • juillet 2022
    • juin 2022
    • mars 2022
    • janvier 2022
    • décembre 2021
    • novembre 2021
    • octobre 2021
    • septembre 2021
    • août 2021
    • juin 2021
    • mai 2021
    • avril 2021
    • mars 2021
    • février 2021
    • novembre 2020
    • octobre 2020
    • juillet 2020
    • juin 2020
    • avril 2020
    • mars 2020
    • février 2020
    • janvier 2020
    • novembre 2019
    • septembre 2019
    • juillet 2019
    • mai 2019
    • avril 2019
    • février 2019
    • janvier 2019
    • novembre 2018
    • octobre 2018
    • septembre 2018
    • juillet 2018
    • juin 2018
    • avril 2018
    • mars 2018
    • février 2018
    • janvier 2018
    • décembre 2017
    • novembre 2017
    • octobre 2017
    • septembre 2017

    Catégories

    • Actualités
    • Mieux comprendre
    • Témoignages

    Méta

    • Connexion
    • Flux des publications
    • Flux des commentaires
    • Site de WordPress-FR

    logo

    © 2017 Vert l'Avenir
    Tous droits réservés

    • Actualités
    • Mieux comprendre
    • Témoignages
    • Cultures
    • Accompagnement
    • Revue de presse
    • Contact
    • Mentions légales

    Nous suivre

    Twitter YouTube

    Nous contacter

    contact@vert-lavenir.com

    Vert l'Avenir,
    Les Ruralies
    CS 80004
    79231 PRAHECQ Cedex