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Les Négociants agricoles testent tous azimuts


La dernière conférence de presse Vert l’avenir traitait de l’utilisation de litière forestière fermentée pour améliorer le fonctionnement des sols agricoles. Si cette approche est exploratoire et sans résultat confirmé à ce jour, elle montre néanmoins le large panel de solutions testées par les Négociants agricoles.

Les produits phytopharmaceutiques conventionnels occupaient une large place dans les essais il y a quelques dizaines d’années. Ils laissent aujourd’hui la place à d’autres solutions en cours de test. Produits de biocontrôle, stimulateurs de défense des plantes, stimulateurs de vie du sol se taillent la part du lion dans les expérimentations. En effet, le nombre de ces produits qui arrivent sur le marché est très important. Plusieurs structures agricoles dont les négociants testent donc ces solutions pour préciser la manière de les utiliser et leurs effets. La majorité des ces solutions sont commerciales, les négociants seront amenés à les vendre à des agriculteurs mais certains négociants comme les Ets Dupré-Lardeau, vont jusqu’à proposer aux agriculteurs de tester des solutions, comme la litière forestière fermentée, qu’ils peuvent fabriquer eux-mêmes.

La conduite actuelle des cultures nécessite de combiner différentes solutions et c’est toute la complexité de la mise au point d’itinéraires culturaux combinant des leviers génétiques (choix variétaux), physiques (travail du sol), informatiques (outils d’aide à la décision), biologiques (biostimulants, biocontrôle, engrais organiques…), chimiques (produits phytopharmaceutiques, engrais) et agronomiques.


Conférence de presse sur l’utilisation de la litière forestière fermentée en mars 2023 avec les Ets Dupré-Lardeau (Indre).
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APIVITI : des couverts pour nos abeilles en milieu viticole

Découvrez comment des viticulteurs de Charente œuvrent pour la mise en place de couverts mellifères (favorables aux abeilles) en milieu viticole. Une belle entente entre apiculteurs et viticulteurs. Une action menée par l’association Apiviti et l’entreprise de Négoce Agricole Landreau (https://landreau-groupe.fr/).

Cette vidéo est réalisée pour mettre en avant les partenaires et les actions du programme de reconquête de la qualité de l’eau sur le bassin de Coulonge et Saint-Hippolyte (Charente et Charente-Maritime).


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En route vers les plantations d’arbres et de haies


À la suite d’un accord passé avec la société PUR, le Négoce Agricole Centre-Atlantique, syndicat des négociants agricoles des régions Nouvelle-Aquitaine et Centre-Val de Loire, s’engage dans les plantations d’arbres et de haies sur les exploitations agricoles.

Les atouts des arbres sont multiples : stockage de carbone, captation de nitrates, refuge pour la faune… La société PUR dispose de fonds privés pour financer des projets de plantation et recherche des agriculteurs pour planter. Le réseau d’entreprises de Négoce agricole du NACA touche un grand nombre d’agriculteurs et permet de trouver des porteurs de projet de plantation. Pour cette première année d’engagement, un objectif compris entre 20 000 et 30 000 arbres a été fixé. Un travail de recensement des agriculteurs volontaires a commencé. Des rendez-vous avec les agriculteurs sont prévus au cours du printemps pour construire avec eux un projet de plantation conforme à leurs attentes et à l’ambition environnementale du projet. Rendez-vous à l’automne prochain pour le début de la campagne de plantation.


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Le projet de réserves de substitution (bassines) en Deux-Sèvres


En Deux-Sèvres, un projet de construction de 16 réserves de substitution met le feu au poudre et déclenche de nombreuses interrogations de la part de personnes extérieures au territoire et au milieu agricole. Cet article a pour but de répondre à certaines interrogations.

Une réserve de substitution, c’est quoi ?

Le principe des réserves de substitution est simple : remplacer une partie de l’eau pompée dans le milieu naturel (rivières, nappes phréatiques) l’été par des prélèvements en période hivernale. L’eau ainsi prélevée dans le milieu naturel en hiver est stockée dans des réserves (grands bassins) pour permettre son utilisation au printemps et en été. Le volume prélevé dans le milieu naturel n’augmente pas, c’est la période de pompage qui change en remplaçant des pompages estivaux par des pompages hivernaux.

Pourquoi ce projet se fait en Deux-Sèvres ?

Le département des Deux-Sèvres ne bénéficie pas de nappes phréatiques de capacité importante en raison de sa situation à cheval entre 2 bassins sédimentaires : le bassin parisien et le bassin aquitain. Les nappes phréatiques une fois remplies « débordent » dans les rivières via des sources et résurgences. Les faibles capacités de ces nappes phréatiques compliquent la situation hydrique du département principalement en été. Ainsi, le département peut connaitre des périodes hivernales avec des nappes remplies qui alimentent des rivières et une situation estivale de manque d’eau dans le milieu. Ce constat a amené une réflexion sur la réduction des prélèvements d’eau l’été par le secteur agricole au profit de prélèvements hivernaux stockés dans des réserves de substitution.

Le projet des Deux-Sèvres ne concerne que la construction de réserves de substitution. Non, c’est un projet plus large. Il encadre la totalité des prélèvements d’eau dans le milieu naturel, que l’on pompe pour remplir une réserve ou pour irriguer une culture. Le projet impose une diminution du volume prélevable de 3 millions de m3.

A qui s’applique le projet ? : A tous les irrigants du bassin versant de la Sèvre Niortaise et du Mignon qu’ils prélèvent dans une réserve de substitution ou directement dans le milieu naturel.

Quels sont les engagements pris par les irrigants ? : L’ensemble des irrigants doivent faire un diagnostic de leur exploitation et s’engager dans des mesures de réduction d’usage des pesticides, de changement de pratiques agricoles ou d’amélioration de la biodiversité.

Et si ces engagements ne sont pas tenus ? Un irrigant qui refuse de s’engager dans la démarche n’a plus accès à l’eau dans un délai de 3 ans. Un irrigant qui ne respecte pas ces engagements de changement de pratiques voit le volume d’eau qui lui est attribué diminuer d’année en année (réduction de 50% en bout de 5 ans et 100% au bout de 8 ans).

La profession agricole et certains irrigants accaparent l’eau. Les volumes prélevables dans le milieu naturel sont attribués aux irrigants par l’Etablissement Public du Marais Poitevin dont le conseil d’administration est présidé par le Préfet. 45 personnes siègent dans ce conseil d’administration, 3 personnes représentent les activités agricoles. Un réseau de mesures en eaux superficielles et souterraines est en place et autorise ou non les prélèvements d’eau dans le milieu.

L’alimentation des populations en eau potable reste la priorité.

La profession agricole ne choisit pas ce qu’elle prélève comme eau dans le milieu naturel. Un volume lui est attribué et il peut être utilisé par les irrigants tant que le réseau de surveillance n’entraine pas une coupure de l’irrigation.

Si les réserves de substitution profitent effectivement en premier lieu aux irrigants qui y sont connectés, la réduction des prélèvements estivaux est favorable aux autres irrigants en repoussant la date de coupure des prélèvements d’eau l’été.

Pour information, sur le bassin de la Sèvre Niortaise – Mignon, les irrigants représentent 25% des agriculteurs.

Pourquoi ne pas changer les cultures en place au lieu d’irriguer ? C’est un tout, il faudra faire les 2 : une modification d’une partie des cultures en place et une substitution d’une part des prélèvements d’eau estivaux par des prélèvements d’hiver.

Par rapport au développement de nouvelles cultures, il faut trouver des cultures dont les besoins en eau coïncident avec des périodes d’abondance en eau et qui répondent aux besoins des filières. Pour développer ces cultures à grande échelle, il faut des filières qui puissent valoriser des quantités importantes et donc des usages de ces productions qui ne sont pas marginaux. Pour le moment, il n’y a pas de culture qui répond parfaitement à cette définition.

Même pour les cultures nécessitant peu d’eau, l’irrigation est toujours un plus. Elle permettra de sécuriser une production et un revenu pour l’agriculteur. Elle est aussi une sécurité pour les opérateurs des filières en leur garantissant une fourniture en matières premières leur permettant de fonctionner. L’accès à l’eau est également un moyen de développer de nouvelles cultures sur le territoire car certaines filières demandent aux agriculteurs d’irriguer. Ces cultures sont généralement plus rémunératrices pour les agriculteurs et sources de développement économique des territoires ruraux.

Sur un point comme la tolérance des cultures au manque d’eau, l’aspect génétique est primordial pour sélectionner des variétés plus tolérantes au manque d’eau. Le fait d’appliquer en France un principe de précaution à l’ensemble des opérations de manipulation génétique ne permet pas d’accélérer la sélection de ces variétés.

Les réserves de substitution bénéficient aux grosses exploitations et alimentent l’agro-business. En Deux-Sèvres, la surface moyenne d’une exploitation agricole en 2020 était de 89.2 ha. La commune de Saint Soline, célèbre malgré elle, a une surface moyenne par exploitation agricole de 82.9 ha en 2020 (19 exploitations agricoles). Les exploitations bénéficiant des réserves ont une surface dans la moyenne départementale.

En ce qui concerne l’agro-business, d’après la définition du Larousse, il s’agit de l’« ensemble des activités et des transactions en relation avec l’agriculture et les industries agroalimentaires ». Il est vrai que les productions issues des cultures irriguées vont passer en grande partie par les industries agro-alimentaires notamment pour améliorer la souveraineté alimentaire de la France c’est-à-dire pour nous nourrir. En cela, les cultures irriguées ne diffèrent pas des cultures non-irriguées, également largement destinées aux industries agro-alimentaires.

 

Un observatoire des pratiques agricoles et des actions en faveur de la biodiversité a été mis en place sur le territoire. Il est disponible à l’adresse suivante : https://observatoire-eau1779.fr/#/


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Une journée fertile


Le 07/12/2022, une quinzaine de conseillers issus d’entreprises de négoce agricole des régions Nouvelle-Aquitaine et Centre-Val de Loire se formaient à Niort sur la fertilité des sols. Cette journée technique organisée par le Négoce Agricole Centre-Atlantique avec le soutien financier de l’Agence de l’eau Adour-Garonne était animée par Arvalis-Institut du végétal.

Le thème de la journée concernait la fertilité des sols et son diagnostic en grandes cultures (cultures céréalières). Après une session en salle permettant de rappeler les composantes de la fertilité d’un sol, les participants ont pu aborder différentes méthodes de diagnostic et analyses pour caractériser cette fertilité. Plusieurs méthodes ont été mises en application l’après-midi au cours d’un atelier sur le terrain. En fin de journée, les conseillers ont été amenés à réfléchir aux leviers possibles pour améliorer la fertilité d’un sol.

Cette question du sol est cruciale en agriculture car de son bon état de fertilité dépendent les productions en quantité et qualité qui pourront en être récoltées. La protection des sols et de leur fertilité est une des conditions de la durabilité de notre agriculture.


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Le Négoce Agricole renouvelle son engagement pour la qualité de l’eau en Charente-Maritime


Le 07 septembre 2022, c’est sous une pluie tant attendue que les acteurs du bassin versant de l’Arnoult et de l’aire d’alimentation du captage de Lucérat se sont réunis à Saint Hippolyte (17) pour signer un contrat territorial pour l’amélioration de la qualité de l’eau.

Les captages du bassin de l’Arnoult et de Lucérat en Charente-Maritime sont concernés par des problèmes de pollution par les nitrates et les produits phytopharmaceutiques nécessitant une dilution et un traitement des eaux pour les mettre en conformité par rapport aux critères de potabilité. Ces eaux alimentent notamment l’île d’Oléron.

Afin de traiter ces problèmes de pollution à la source, des actions correctives sont mises en place avec la profession agricole. C’est le contrat de renouvellement de ces actions pour une période de 5 ans qui était signé le 07 septembre 2022 à Saint Hippolyte (17) par un ensemble d’acteurs de ce territoire. Ce nouveau contrat donne de nouvelles orientations aux actions et notamment le financement de prestations de désherbage mécanique et des actions de développement de filières. Pour illustrer ces actions, une présentation de la filière chanvre textile en développement en Charente-Maritime a été réalisée par Viridi Gallus (porteur du projet), l’exploitation agricole qui accueillait les signataires étant engagée dans cette filière. L’Agence de l’eau Adour-Garonne participe au financement de ces actions.

A cette occasion, le Négoce Agricole via le Négoce Agricole Centre-Atlantique et le Groupe Isidore a renouvelé son engagement pour la qualité de l’eau en signant ce nouveau contrat.


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Filtrer et réutiliser vaut mieux que jeter


Filtrer les eaux de lavage de pulvérisateur pour les réutiliser et faire des économies d’eau. C’est ce que propose l’entreprise de négoce agricole Vitivista aux agriculteurs du Sud-Ouest de la France en bio comme en conventionnel.

Sur une exploitation agricole, les eaux de lavages des pulvérisateurs, appelées effluents, doivent être gérées conformément à la réglementation pour ne pas générer de pollutions des sols et des eaux.  2 solutions s’offrent aux agriculteurs : soit laver leur pulvérisateur sur des parcelles de leur exploitation soit laver leur pulvérisateur sur le site de leur exploitation. Dans ce second cas, les eaux de lavage doivent être récupérées et traitées avec un dispositif agréé par le ministère de la transition écologique.

L’entreprise de négoce agricole Vitivista propose aux agriculteurs un dispositif de traitement des eaux de lavage de pulvérisateurs appelé Emeraude®. Il s’agit d’une unité mobile de filtration des effluents. L’agriculteur lave son pulvérisateur sur une plateforme bétonnée et récupère les eaux de lavage dans une cuve. Une fois cette dernière remplie, il contacte un technicien de Vitivista qui se déplace sur l’exploitation pour préparer l’effluent et le filtrer à l’aide du dispositif Emeraude® (filtration sur charbons actifs). Les eaux après filtration peuvent être réutilisées notamment pour laver du matériel agricole. Ainsi, le viticulteur délègue la gestion de ses eaux de lavage à Vitivista. La prestation est principalement développée en viticulture sur le quart Sud-Ouest de la France notamment en agriculture biologique. En 2021, plus de 500 m3 d’effluents ont ainsi été traités à l’aide du dispositif Emeraude®.


Les techniciens de Vitivista (à gauche) accompagnent Mme Prud’homme, gérante du Château Saincrit à Saint André de Cubzac (à droite) dans le recyclage des eaux de lavage des pulvérisateurs
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Une filière soja qui préserve la qualité de l’eau


Le 23 juin 2022, après 4 années de travail concerté, un ensemble d’acteurs a validé leur engagement dans une filière responsable qui contribue à préserver la qualité de la ressource en eau en Charente-Martime : la culture du soja.

Un projet pour protéger la qualité de la ressource en eau

En 2018, dans le cadre du programme Re-Sources mené par Eau 17 sur le bassin versant de l’Arnoult (situé entre Saintes et Rochefort), une concertation s’est engagée pour développer des filières agricoles favorables à la préservation de la qualité de l’eau destinée à la production d’eau potable. Cette concertation a impliqué les acteurs locaux (organismes stockeurs, Chambre d’Agriculture, GAB 17, Communauté d’Agglomération de Saintes, agriculteurs, Coop Atlantique, Système U), des instituts de recherche, des instituts techniques, des représentants de filières, des entreprises de l’agroalimentaire et la grande distribution. Elle a révélé un consensus autour de la nécessité de déve­lopper des filières vertueuses qui respectent la qualité de l’eau, qui garantissent un prix aux agriculteurs et un engagement pluriannuel de la part des acteurs. En 2021, le lancement d’une filière soja a été validé.

Les partenaires et leur rôle dans la filière

Pour construire ce projet, différents partenaires, complémentaires, aux ambitions communes sont impliqués. Aux côtés d’Eau 17, porteur du programme Re-Sources Arnoult-Lucérat, on retrouve des agriculteurs pour cultiver le soja, des coopératives et des négoces agricoles (le groupe Isidore, le réseau de négoces NACA, les coopératives de Beurlay, de Saint-Agnant et Océalia) pour le stocker, le négoce Pasquier Vgt’al pour le toaster, des éleveurs des Fermiers de Loué qui nourrissent leurs poules pondeuses et des distributeurs (Coop Atlantique et Système U) qui vendront les oeufs dans les magasins U à proximité. Démarche co-construite, chacun va s’engager et bénéficier d’une rémunéra­tion juste et équitable.

Le Soja, une culture test pour consolider une filière agricole en faveur de la qualité de l’eau

Après une année d’expérimentation en 2021, 70 hectares de soja ont été semés au printemps 2022. Cette plante répond aux objectifs fixés lors de la concertation, elle contribue à allonger les rotations céréalières du territoire et ne nécessite pas d’apport d’azote, ce qui limite les fuites de nitrate vers les nappes phréatiques. Le cahier des charges proposé encourage les acteurs à pratiquer un désherbage mécanique afin de limiter l’usage de pesticides. Autant d’arguments en faveur de la protection de la ressource en eau destinée à la production d’eau potable.


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Le Négoce Agricole, partenaire du rendez-vous Tech&Bio


Les rendez-vous Tech&Bio sont des salons professionnels régionaux dédiés à l’agriculture biologique. Le 24 mai dernier avait lieu le Rendez-vous Tech&Bio dédié aux grandes cultures (céréales, tournesol, pois…) et légumes de plein champ à Rians (18). Le Négoce Agricole Centre-Atlantique, syndicat des négociants agricoles de Nouvelle-Aquitaine, Vendée, Centre-Val de Loire, était partenaire de ce salon et disposait d’un stand.

Depuis plusieurs années, les entreprises de Négoce Agricole accompagnent les exploitations agricoles certifiées en agriculture biologique en fournissant de l’accompagnement technique, des agro-fournitures (semences, engrais, produits de protection des cultures…) et en collectant leurs productions céréalières. Cet engagement auprès des agriculteurs bios se fait au moyen d’investissements importants pour permettre un stockage des grains dans de bonnes conditions (nettoyage renforcé des grains) et sans utilisation d’insecticide.

La participation au Rendez-vous Tech&Bio a permis des échanges entre négociants agricoles et agriculteurs et montre l’intérêt du Négoce Agricole pour l’agriculture biologique même dans un contexte économique qui lui est peu favorable.


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La qualité de pulvérisation, préalable à la réduction d’usage d’intrants


La qualité de pulvérisation est le thème abordé par 2 entreprises de Négoce agricole au cours de 2 journées techniques proposées aux agriculteurs. L’une s’est déroulée en février dans la Beauce avec les Ets Pissier, l’autre s’est déroulée en mars dans le vignoble de Cognac avec les Ets Fortet-Dufaud. Le trait d’union entre ces 2 journées, la qualité de pulvérisation et des agriculteurs qui cherchent à réduire l’usage d’intrants.

Un pulvérisateur pour épandre quoi ? Un même outil, le pulvérisateur, est utilisé pour l’épandage de l’ensemble des produits de protection des plantes y compris ceux utilisés en agriculture biologique et y compris ceux issus de substances naturelles (biocontrôle). Le pulvérisateur est également utilisé pour épandre des engrais et des biostimulants (stimulateurs de défense des plantes et stimulateurs de vie des sols). Ces différents usages ne peuvent pas être différenciés quand on voit un pulvérisateur en action.

Quel que soit le type de produits utilisés (pesticide de synthèse ou biopesticides), en agriculture biologique comme en agriculture conventionnelle, un produit qui n’atteint pas sa cible représente une perte à tous les sens du terme : perte économique pour l’agriculteur et perte environnementale. Le réglage du pulvérisateur est donc une priorité et c’est bien plus complexe qu’on ne le croit pour combiner les aspects réglementaires et techniques. L’objectif de ces journées techniques était donc de présenter aux agriculteurs à travers différents ateliers des outils pour améliorer la qualité de la pulvérisation et économiser des produits. Des experts étaient mobilisés pour animer ces ateliers. Il a été question de stations météo, d’adjuvants (produits qui permettent une meilleure efficacité des traitements), de buses de pulvérisation, de réglages de pulvérisateurs (pression, vitesse d’avancement, volume d’eau), de réglementation et de protection des utilisateurs.

En région Centre-Val de Loire, les Ets Pissier ont réuni une cinquantaine d’agriculteurs au cours de leur journée du 03 février dernier.

Les Ets Fortet-Dufaud ont réuni une trentaine de viticulteurs dans le secteur de Cognac le 23 mars. Au cours de cette dernière journée, le thème des couverts végétaux en viticulture pour améliorer la vie des sols a également été largement abordé.


Journée technique des Ets Pissier
Journée technique des Ets Fortet-Dufaud
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