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Hydromulching : une solution innovante pour végétaliser durablement les espaces publics et privés

Portée par le groupe Nau et son partenaire Urbavert, cette technique séduit paysagistes, collectivités et entreprises grâce à ses multiples bénéfices écologiques et pratiques.


Face aux défis croissants liés au réchauffement climatique et à la transition écologique, la végétalisation des espaces – qu’ils soient urbains, ruraux, publics ou privés – s’impose comme une priorité. Refroidir les zones minéralisées, favoriser la biodiversité, limiter l’érosion des sols ou encore bannir l’usage des produits phytosanitaires sont autant d’enjeux auxquels répond une technique innovante : l’hydromulching.

Déployée depuis 2024 par le groupe Nau, acteur majeur du négoce agricole, en partenariat avec Urbavert, spécialiste des solutions durables pour les aménagements paysagers, cette méthode de semis direct séduit de plus en plus de professionnels. Destinée principalement aux entreprises du paysage, elle s’adresse également aux collectivités territoriales, aux entreprises privées ainsi qu’aux exploitants agricoles, en particulier dans les domaines viticoles.

 

Une méthode douce pour des résultats durables

 

L’hydromulching consiste à projeter au sol un mélange de semences, d’eau et d’un mulch support de germination. Les graines sont sélectionnées en fonction des besoins du client, sans labour ni modification de la structure du sol. Ce procédé simple mais ingénieux présente de nombreux avantages :

-Une végétalisation maîtrisée : le choix précis des espèces permet d’obtenir un couvert végétal adapté aux conditions locales et aux objectifs écologiques ou esthétiques du site.

-La suppression des désherbants chimiques : la densité des végétaux plantés crée un effet de concurrence naturel contre les plantes indésirables, rendant inutile l’usage de produits phytosanitaires de synthèse.

-La protection et l’enrichissement des sols : le semis direct respecte la structure des sols, favorise leur fertilité et limite leur érosion.

-Un rendu homogène : la technique de projection assure une couverture végétale uniforme, gage de qualité et d’esthétisme.

-Un gain de temps et de confort : la rapidité de mise en œuvre réduit la pénibilité du travail pour les équipes sur le terrain.

 

Un succès qui ne se dément pas

 

Adoptée dès 2024, la technique connaît un succès retentissant : les entreprises qui y ont eu recours l’ont toutes renouvelée, affichant un taux de satisfaction de 100 %. Un indicateur fort qui témoigne de la pertinence et de l’efficacité de cette solution face aux impératifs environnementaux actuels.

Avec l’hydromulching, le groupe Nau et Urbavert participent activement à la transition écologique des territoires, en apportant aux professionnels une réponse concrète, efficace et respectueuse de l’environnement. Une innovation qui pourrait bien devenir un nouveau standard dans l’entretien et la revitalisation des espaces verts.

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Chiche !

Diversifier les cultures produites par les agriculteurs, c’est une solution pour utiliser moins d’engrais azotés et moins de produits phytosanitaires. Parmi les cultures alternatives produites en France, on trouve le pois-chiche. Les Charentes sont un bassin de production important pour le pois-chiche. Des entreprises comme le groupe Isidore et le groupe Piveteau accompagnent les agriculteurs dans la production et la commercialisation des pois-chiches. Ainsi, pas loin de 3500 hectares de pois-chiches sont produits grâce à eux en Poitou-Charentes. Les débouchés de cette culture sont l’alimentation humaine et les semences qui serviront à semer de nouvelles surfaces en pois-chiches.Le rendement de cette culture est de 2000 à 2500 kg par hectare.

Le pois-chiche est une culture qui a de multiples intérêts : elle est capable d’utiliser l’azote de l’air grâce à un partenariat gagnant-gagnant avec des bactéries au niveau de ses racines. Elle n’a donc pas besoin d’engrais azoté. Encore mieux, elle laisse de l’azote dans le sol pour la culture qui suivra. La culture de pois-chiche est semée au début du printemps, une période intéressante qui permet une meilleure gestion des mauvaises herbes. On notera également que cette culture ne demande pas d’irrigation.

Les surfaces de pois-chiches cultivées en France dépendent des débouchés et de notre consommation. Une consommation uniquement inféodée au couscous limitera forcément les surfaces produites alors à vos idées de recettes pour diversifier l’utilisation des pois-chiches en cuisine, en graines comme en farine.

Visite d’essai sur une parcelle de pois-chiches – Ets Isidore.
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Des couverts, pour quoi faire ?

Sur les exploitations agricoles céréalières, semer des couverts végétaux pour couvrir les sols entre la récolte d’une culture et le semis de la culture suivante a de multiples avantages. Le projet ADOPTAE mis en place en Nouvelle-Aquitaine et Occitanie a pour objectif de développer l’usage de ces couverts végétaux en grandes cultures et viticulture. Les partenaires du projet ADOPTAE en Poitou-Charentes dont fait partie l’entreprise de négoce agricole Néolis, ont organisé jeudi 10 octobre 2024, une matinée technique autour des couverts végétaux, chez un agriculteur du Nord de la Charente. Ce tour de plaine a permis aux 45 personnes présentes (agriculteurs, conseillers, étudiants, enseignants), de profiter de l’expérience de l’agriculteur sur le sujet et de souligner certains points clefs :

  • l’importance d’un semis du couvert dans les 48h après la moisson de la culture précédente, pour bénéficier de l’humidité du sol ;
  • une profondeur de semis à 5 cm ;
  • une attention portée à la diversité du mélange d’espèces semé.

Un 1er atelier a permis d’échanger autour des services rendus par les couverts : protection et fertilité du sol, stockage du carbone, rôle pour la biodiversité, valorisation possible (pâturage),… 

Le 2ème atelier a permis d’illustrer visuellement certains services des couverts grâce à la visite de 2 parcelles :

  1. une parcelle de couvert en cours de pâturage par des vaches dans le cadre d’un partenariat avec un éleveur. L’agriculteur a fait le choix d’un mélange diversifié et adapté : phacélie, navette, radis fourrager, sorgho, trèfles incarnat, squarrosum et de Micheli, pour un coût en semence de 55€/ha.
  2. une parcelle avec un couvert destiné à gérer une problématique adventices (« mauvaises herbes ») : choix d’un couvert plus onéreux (coût semences = 116€/ha) composé de vesce velue, phacélie et moutarde d’Abyssinie. Maximiser la densité de semis de la légumineuse vise à favoriser sa présence et limiter celle des adventices !

La matinée s’est terminée par un moment de convivialité autour d’un verre.

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Une journée dédiée aux innovations en agriculture

L’entreprise de Négoce agricole Néolis a réuni 300 agriculteurs sur sa plateforme d’essais le 30 mai dernier à Voulême au sud de la Vienne.

Pour aborder les nouveautés et innovations techniques, les agriculteurs étaient répartis en petits groupes pour échanger en ateliers sur différentes thématiques. L’objectif : comment produire demain en utilisant moins et mieux les intrants (engrais, produits de protection des plantes) ?

Les leviers d’actions sont multiples : variétés plus tolérantes aux maladies, amélioration de la nutrition des plantes, désherbage mécanique, couverts végétaux pour absorber les nitrates du sol, amélioration de la connaissance de ses sols… Ces leviers et leur combinaison étaient l’objet des ateliers de cette journée.

Un village d’exposants venait compléter les ateliers. On y trouvait notamment

  • Un stand sur les pratiques agricoles permettant de préserver la qualité de l’eau, animé par les syndicats des eaux locaux,
  • Un stand de promotion des couverts végétaux, pratique aux multiples intérêts : qualité de l’eau, érosion, piégeage de carbone, biodiversité…
  • Un stand sur la promotion des implantations d’arbres et de haies en milieu agricole.

Des moments de convivialité ont ponctué cette journée et ont permis les échanges entre agriculteurs.

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Couvrir les sols viticoles en Gironde

Le 14 mars 2024, les partenaires de Gironde des projets Rallye Transfert Nouvelle-Aquitaine et ADOPTAÉ (Chambres d’agriculture de Gironde et de Nouvelle-Aquitaine, CIC-NAU, Raisonnance, Agrobio 33 / Bio NA, FPCUMA 33-47), ont organisé une matinée technique sur le thème des couverts végétaux dans les vignes au Château Pichon Longueville Baron à Pauillac (33).

Les couverts végétaux implantés dans les vignes ont de multiples intérêts : préservation et maintien du sol (érosion, tassement), nutrition des vignes, stockage de carbone…

Axée sur les pratiques de mise en place des couverts suivant l’objectif du viticulteur, cette matinée a rassemblé plus de 80 participants (viticulteurs, chefs de culture, chargés de mission ou d’expérimentation, conseillers, chercheurs, ouvriers, semenciers…).

Après une présentation de la démarche engagée par les châteaux Pichon Baron et Pichon Comtesse, hôtes de la matinée, les participants ont évolué sur 4 ateliers proposés dans les vignes : 1-Intégrer sereinement les couverts dans les vignes ; 2-Gérer son enherbement avec des brebis ? ; 3-Estimer les services rendus par les couverts ; 4-Détruire son couvert avec le bon outil.

Ces ateliers co-construits par les partenaires organisateurs, et ajustés aux attentes des participants, ont mêlé interventions techniques sur les thématiques abordées, témoignages de viticulteurs, démonstrations de matériel et bien entendu échanges avec les participants.

Les retours positifs déjà recueillis, confirment le succès de la formule proposée, déjà testée sur d’autres territoires / filières.

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La contribution des Négoces Agricoles sur la qualité de l’eau brute en Vendée.

Les négoces agricoles s’impliquent dans la préservation de la qualité de l’eau brute, un enjeu majeur pour la durabilité environnementale.

Lors de la récente journée dédiée à la compréhension des enjeux de la qualité de l’eau qui s’est déroulée à l’usine de production d’eau potable de l’Angle Guignard (La Réorthe 85210), les négoces COSSET et Pasquier VGT’al ont pris part activement aux discussions et initiatives visant à promouvoir des pratiques agricoles toujours plus responsables.

Les échanges ont mis en évidence l’importance de réduire l’utilisation de produits chimiques agricoles problématiques pour la qualité de l’eau et la production d’eau potable en particulier, et la nécessité de promouvoir des méthodes agricoles durables, favorisant ainsi la préservation de la ressource en eau.

Le syndicat d’eau potable Vendée eau finance des actions d’accompagnement et de sensibilisation auprès des agriculteurs. Les négoces agricoles, en tant qu’intermédiaires clés entre les producteurs et les fournisseurs de produits, se sont aussi engagés à informer et sensibiliser les agriculteurs sur l’adoption de pratiques respectueuses de l’environnement.

Cette journée d’échange a été l’occasion pour les techniciens présents de découvrir l’usine et son fonctionnement ainsi que les problématiques de qualité d’eau du territoire. Des échanges notamment sur la base de la carte des risques de transferts de pollutions présentée par Vendée eau ont pu alimenter cette rencontre.

La participation active des négoces à cette journée sur la qualité de l’eau brute témoigne de leur engagement. D’autres temps forts impliquant les négoces seront organisés par Vendée eau à l’avenir autour de cette question.

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Soirée quiz eau et agriculture à destination des agriculteurs

Une soirée quiz sur l’eau et l’agriculture à l’initiative du syndicat de rivières du Val de Vienne avait lieu en Indre-et-Loire, à Crouzilles, le 13/02/2024. Le Négoce Agricole Centre-Atlantique, fédération des négociants agricoles de Nouvelle-Aquitaine et Centre-Val de Loire, participait.

Le syndicat de rivières du Val de Vienne avait sollicité le Négoce Agricole Centre-Atlantique pour la rédaction des questions du quiz et la co-animation de la soirée. Une dizaine d’agriculteurs étaient réunis ce mardi soir pour tester leurs connaissances sur la thématique « eau et agriculture ». Le questionnaire a permis de balayer différentes thématiques en lien avec la réglementation et les pratiques agricoles intéressantes pour la qualité de l’eau : couverts végétaux, matière organique du sol, certification, protection des cultures, bandes enherbées et haies… La forme ludique de la soirée a permis une sensibilisation sur les enjeux de l’eau dans une ambiance conviviale. Un livre sur les couverts végétaux a été offert aux 3 premières équipes par le Négoce Agricole Centre-Atlantique. La soirée s’est terminée par un verre de l’amitié.

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Grâce à l’Eure-et-Loir, il fait chaud à La Défense !

Une exceptionnelle nouvelle économique liée à la transition énergétique arrive en Eure-et-Loir. Depuis quelques mois, la société Sodem, à Marchezais, et les anciens silos de la Scael, à Gellainville, devenus propriété d’Idex, livrent des agropellets pour chauffer le quartier d’affaires de La Défense (Hauts-de-Seine).

 

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Mélange Terre-Mer pour Lamybienaimé

Les Ets Lamybienaimé, entreprise de Négoce Agricole des Deux-Sèvres, expérimentent depuis plusieurs années des produits à base d’algues pour réduire l’usage de fongicides sur céréales à paille. Ce sujet a fait l’objet d’une conférence de presse Vert l’avenir en juin 2023.

 

La recherche d’alternatives pour réduire l’usage de produits phytosanitaires en agriculture fait partie du métier de négociant agricole. Les Ets Lamybienaimé utilisent depuis 3 ans un biostimulant à base d’algues pour réduire l’utilisation de fongicides (produits qui agissent contre les maladies dues à des champignons) sur blé et orge. Ces produits sont fabriqués à partir d’algues rouges et brunes récoltées sur les côtés vendéennes et bretonnes. L’apport de ces produits sur les plantes stimule leur système immunitaire et les prépare à réagir à une attaque de maladies fongiques (dues à des champignons). Ces biostimulants peuvent soit être utilisés seuls soit en mélange avec un fongicide dont la dose est réduite de moitié. Ce type de produit permet aux agriculteurs de répondre à certains cahiers des charges (Haute Valeur Environnementale – HVE, Mesures Agro-Environnementales et Climatiques – MAEC, Agriculture Biologique).

 

L’utilisation de ces produits est une réussite puisque l’entreprise Lamybienaimé développe cette solution sur 3500 ha de céréales à paille, un chiffre en progression depuis 3 ans. Un test sur 1000 ha de tournesol est également conduit cette année. L’usage de ces produits comme celui des fongicides est raisonné en fonction des conditions météorologiques de l’année.

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Des pommes de terre pour Bret’s

Afin d’accroitre son approvisionnement en pommes de terre, le numéro deux français de la chips, le morbihannais Altho, a sollicité les territoires de l’ouest pour développer la culture. En Deux-Sèvres, le négoce Pasquier Vgt’al a mis en place un essai de 25 ha.

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